Activité des joueurs [Crusader] Avril2010/Janvier2011

Delma Attila Barbarius




Le lag
















Partie tres heterogene , avec a ce moment de la partie , avantage pour nous...





En soit un debut un peu difficil car on avait pas misé sur la pop , contrairement a nos adversaire , j'ai failli y laisser les plumes !
L'entente en maniement des armées de Loup Gris et moi a eté bien superieur aux adversaires , mais la facon de jouer a trois , etait plus efficace en face ! De ce que j'ai pu voir , Delma faisait de la population , impot -24 , et il attaquait seul au debut , pendant que Attila et Barbarius montait une economie

Ainsi on a sans arret eté en defense , pendant que eux attaquait en permanence....

Barbarius fera surement un compte rendu bien mieux

Donc le vainqueur de cette partie.... Le lag

Je ne fais des comptes-rendus que pour les parties finies. Pour celle-ci, j'aurais fait ce qu'elle méritait : l'enterrer. Il n'y a rien de plus énervant que de voir ses troupes faire n'importe quoi. A certains moments, je ne pouvais plus du tout les contrôler, car, avec les connexions perdues, elles devaient exécuter en même temps au moins jusqu'à six ordres contradictoires.

Il arrivait aussi qu'elles fonçaient toutes seules, comme des grandes, sans que je leur ordonne, vers les ennemis ! J'ai perdu 20 montés à cause de groupés qui avaient déconné, 100 montés lors du combat contre Loup Gris parce que les montés tardaient à se replier face à ses massiers, 25 assassins qui avaient visiblement oublié un ordre de repli, et 40 montés qui avaient décidé après notre retraite de foncer tout droit sur l'ennemi. Attila aussi aura perdu un groupe d'assassins à cause du bogue, et les lags auront provoqué chez nous un manque de coordination. Mes montés, qui devaient couvrir les 200 assassins de DDELMA, ont pris un retard phénoménal, car je leur avais ordonné d'éviter les carcasses de vaches pourries de Loup Noir, mais elles n'avaient ensuite pas reçu l'ordre d'avancer. Ou alors, seulement les mantelets recevaient cet ordre, mais pas les montés ! Bref, c'est assez frustrant. Nous avions tous de belles armées, et j'avais fait une éco assez solide, puisque j'avais même à un moment donné 5 000 pièces d'or à Attila, dont je n'avais plus l'utilité, étant en taille maximale. Les armées en face étaient redoutables, comprenant je ne sais combien d'archers montés, de moines guerriers, d'assassins, de massiers, et de frondeurs. De notre côté, nous avions également au moins 200 archers montés, 300 assassins, et environ 60 chevaliers. Dommage.

Oui, la partie aurait pu être intéressante, vu les protagonistes. Mais le Dieu de la Guerre ne désirait visiblement pas qu'elle arrive à son terme.

Lassée du sable et des dunes sans fin, la Horde est partie se reposer dans son nouveau territoire. Pansant leurs blessures, les guerriers barbares sont retournés à leur entraînement quotidien, utilisant les esclaves obtenus lors des batailles pour faire travailler de jour comme de nuit les forges et les fours de nos villes. Nous reconstruisons nos forts, rebâtissant l'ancien royaume des Barbares. Notre emprise s'étend sur les cotes environnantes, se perdant dans des archipels. C'est justement de ceux-ci que les troubles surviennent. Deux seigneurs locaux refusent de se soumettre à notre nouvelle autorité. Ils nous considèrent trop faibles pour payer nos taxes et envoyer les régiments que nous exigeons. Ils affirment aussi que des récentes vagues de pirates les ont dévasté, malgré la protection du Barbare. Qu'à cela ne tienne, nos hommes ont justement besoin d'un peu de pratique, après leur nouvel entraînement. Nous partons par navires vers les îles en question, nous établissant dans l'ancien fort de nos ennemis. Nous sommes accompagnés d'un de nos vassaux, Pranius.

• La Croisade des Barbares - 07 - Des cailloux et de la poussière

Sur ce misérable bout de caillou, la place ne tarda pas à nous manquer. Notre économie reposait sur deux axes majeurs : d'une part, nos lourds impôts, et, d'autre part, une revente massive d'armes produite sur place, acheminées par navires vers le continent. Très rapidement, Pranius, constatant que son aide ne nous serait d'aucune utilité, préféra partir, nous laissant ainsi le mérite de châtier ces deux infidèles.

La première bataille eut lieu assez rapidement. Saker, visiblement le plus doué de nos ennemis, opta pour un mélange de chevaliers et d'archers montés, rejoint par les quelques archers montés de son allié, le Rouge. Les deux avaient préféré faire de solides défenses, utilisant des archers, des fosses empoissées, et des mangonneaux ou balistes. De notre côté, nous nous conterons d'archers montés et d'assassins. La première bataille eut lieu au centre de l'île. Alors que notre cavalerie légère s'approchait de leur armée, Saker envoya sa cavalerie lourde. Le combat fut bref, rapide, et douloureux. Rien ne parvint à ébranler la Horde durant ce premier combat. Les chevaliers ennemis furent empalés sur nos lames, décapités sans la moindre pitié. Massacrer la cavalerie légère de l'ennemi fut une gageure.


Saker nous semblant un peu loin, nous préférerons attaquer les remparts du Rouge. Malheureusement, ce dernier disposait de mangonneaux, et nous de trop peu de mantelets. Un repli stratégique nous semblait nécessaire pour nous améliorer. Le Rouge choisira toutefois de se rendre. Une sage décision, que nous ne pouvons qu'approuver. En revanche, Saker était décidé à se battre. Une sage décision, que nous ne pouvons qu'approuver. On ne déplace pas la Horde pour une vulgaire bataille. Cette affaire allait se régler dans le sang et la douleur, dans la mort et la folie. Il n'y avait qu'ainsi que nous pourrions terminer cette révolte.

Vint la période de la construction et du développement. Nous fîmes une redoutable armée, comprenant également des balistes incendiaires, notre ennemi enrôlant un puissant régiment de spadassins européens, et une quinzaine de catapultes, que nous apercevrons trop tard. Alors, l'amusement de la bataille, du massacre imminent qui s'annonçait, laissa place à la rage et à la fureur. Les tirs de l'ennemi dévastèrent notre artillerie, et nous lancerons l'attaque, prenant l'adversaire en tenaille. Ses chevaliers seront les premiers à trépasser.


Furieux, Saker ordonnera à ses spadassins européens de poursuivre notre premier bataillon d'assassins, le second rasant son artillerie. L'ennemi profitera de la bataille pour envoyer un corps expéditionnaire d'archers montés et de chevaliers dans notre ville. Malheureusement pour eux, ils seront accueillis par notre seconde armée, qui ne laissera que des squelettes dépecées glissant lentement dans la mer. Notre armée réunie, nous prendrons le temps de reconstituer une artillerie, avant de finalement lancer l'assaut final, l'ennemi étant définitivement recroquevillé dans son fort.


Les archers ennemis seront massacrés par dizaines, transformant les tours de l'ennemi en fontaines ensanglantées. Les fantassins de l'ennemi, recroquevillés derrière les murs, seront ainsi trempées d'un sang étranger. Désespéré, Saker enverra ses chevaliers au suicide. Nous ferons ensuite une brèche dans son mur, avant de nous élancer. Nos assassins rencontreront ses assassins, spadassins européens, et spadassins arabes, autour d'un corps de garde. Ce sera l'heure de payer, et de payer le prix fort. Nous quitterons cette ville en la brûlant, laissant derrière nous un charnier béant.

Notre territoire sécurisé, nous nous élançons en-dehors de notre oasis. La guerre nous appelle, le Dieu de la Guerre exige du sang, et nous ne pouvons refuser sa demande. La Horde s'élance à nouveau dans les dunes. Nous rencontrons rapidement un vieil ami : Atreïde, qui nous demande de l'aide pour sécuriser un territoire qu'il vient d'acquérir. Son ancien propriétaire, Amin, aspire en effet à le récupérer, et a pour cela payé au prix fort l'aide d'un seigneur de guerre prénommé Varenik. Il serait impoli de refuser.

• La Croisade des Barbares - 08 - Jusqu'à la mort

Ce désert, nous commençons progressivement à le connaitre comme notre poche. Il ne nous effraie pas, et nous l'abordons sans angoisse. Le Dieu de la Guerre est avec nous, nous sentons Son souffle insuffler la foi et le courage dans le coeur de nos hommes. Il apparaitra bien vite qu'Amin n'est pas de ces guerriers qui ont chevauché dans le désert. Ne se donnant pas la peine de faire de murs, il nous attaquera avec des assassins, essayant rapidement de nous éliminer, probablement désireux de récupérer au plus vite son territoire poussiéreux. Ses assassins s'élancent à travers nos murs, cherchant une faille dans nos douves, et atterrissent ainsi entre le mur et les douves. Sous le tir de nos archers montés, ils se feront partiellement massacrer, Amin ayant en effet envoyé d'autres assassins chez Atreïde, qui réussira toutefois à les repousser sans grosse difficulté.


Mais les ennemis étaient bien décidés à nous déloger de là rapidement. Varenik surgit avec une armée plus dangereuse, composée d'hallebardiers, de quelques assassins, et d'archers montés groupés avec des mantelets. Il ne tarde pas à faire une brèche dans notre muraille,e t nous assiège. Nous répondons avec rage, ses hallebardiers s'élançant sur nos troupes. Nos assassins se ruent sur eux pour les bloquer. La bataille est sanglante, et nous sommes soutenus par les troupes d'Atreïde. L'ennemi perd cette bataille, et se replie. Nous sommes malheureusement trop affaiblis pour les poursuivre, mais ils sont désormais avertis : on ne se débarrasse pas aussi facilement de la Horde. Nous rebouchons le trou, tout en formant de nombreuses troupes. Varenik envoie son armée au milieu du désert.

Atreïde et moi-même ne tardons pas à contre-attaquer. Combattant à deux contre un, Varenik ne peut que se replier, mais il nous est aisé de l'attaquer en passant par la "ville" d'Amin. N'étant défendue que par une poignée de spadassins arabes, cette dernière ne tarde pas à tomber. Saisissant sa chance, Varenik se rue alors vers notre cité. Nous nous replions pour le combattre, rapidement rejoints par les forces d'Atreïde. Alors que les ennemis parviennent à faire une percée, filant vers nous avec une pléthore d'assassins et d'hallebardiers, nous demandons à notre allié de nous laisser régler cela par nous-même. Amin a entre-temps choisi de s'enfuir, blessé par l'attaque d'Atreïde.


Nos fantassins se heurtent à toute son armée : hallebardiers, assassins, et archers montés. Tout le monde y passera dans cette lutte sanguinolente. Pendant un bref montant, nous craindrons que notre infanterie ne cède, avant que nos doutes s'estompent quand la gorge du dernier ennemi sera tranché. Varenik choisira alors de se rendre. Son honneur est sauf, et il s'enfuit, probablement pour traquer son employeur qui l'a lâchement abandonné.


Mais le répit fut de courte durée. Alors que nous célébrions avec Atreïde cette victoire, félicitant les talents de gestionnaire de ce dernier, de nouveaux ennemis ne tardèrent pas à venir. Un certain Nightlife vint vers nous. Sombre et mystérieux, son armée semblait des plus inquiétantes. Il était loin de vouloir pactiser avec nous, et nous suggéra une seule fois de partir. Ce fut une fois de trop. Nous réaliserons ensuite qu'il n'était pas tout seul, retrouvant notre vieil ennemi : Loup Gris, l'un des meneurs de la meute des Phoenix. Décidé à se venger de tous ses échecs contre nous, il était prêt à n'importe quoi pour enfin tenir en échec la Horde. De notre côté, nous étions bien décidés à défendre cette terre, cette terre où nos frères sont morts. Pas question qu'un loup décervelé puisse la fouler avec ses sales pattes ! Qu'ils viennent donc ! Ils recevront ce qu'ils méritent !


Ce Nightlife était d'un autre niveau que Varenik. Après un développement relativement réussi, nous essuierons rapidement ses assauts furieux, celui-ci envoyant une solide armée composée de mantelets et d'archers montés. Atreïde ne tardera pas à venir nous aider. En position difficile, Nightlife était cependant loin de vouloir se replier, comblant pendant ce temps avec quelques esclaves les douves d'Atreïde. Le temps que nous réalisions cela, l'ennemi, qui avait été rejoint par la meute de Loup Gris, avait réussi à faire une brèche. Nous nous élancerons pour les stopper. Leurs courageuses percées furent rapidement repoussées, et la bataille se prolongea autour du corps de garde d'Atreïde.

Atreïde finira par avoir des milliers de pièces d'or, mais commettra l'erreur d'envoyer des spadassins arabes. Espérant sans doute permettre ainsi aux ennemis de se replier, il ne fera qu'envoyer ses soldats au casse-pipes, les archers montés de l'ennemi les massacrant impitoyablement. De notre côté, nous augmentions progressivement notre nombre de mantelets et d'archers montés, prenant progressivement l'avantage, l'armée de Nightlife s'effondrant de plus en plus. Alors que le vent de la victoire semblait tourner, la meute de Loup Gris attaquera avec des dizaines et des dizaines de massiers. Portés par un vent maudit, ils s'élanceront en compagnie des innombrables assassins de Nightlife dans la ville d'Atreïde. N'ayant que peu de troupes à cause de son vain sacrifice, l'armée d'Atreïde sera balayée par les forces ennemies. La nôtre suivra rapidement, et nous devrons nous replier vers notre ville, les assassins de Nightlife s'engouffrant tels des serpents haineux dans la ville d'Atreïde. Nous ne pouvons plus rien faire pour lui, et nous revenons vers notre donjon, poursuivis par l'infatigable meute du Loup. Nos ultimes assassins s'élancent inutilement pour les stopper. Massacrées par ce rouleau compresseur, nos troupes s'écroulent et gisent, désarticulées, sur le sol. La résistance est inutile. Nous déposons les armes.

Je me demande ce qui a pu arriver à Falkord. Avec seulement 242 serfs, je n'ai pas l'impression qu'il ait bien réussi son développement