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| Le retour des Barbares | |
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+8Renaud de Châtillon Endoftheday Seigneur des Loups Noirs GRIBOUIL Luc dit le bien monté Sicnarf le débauché General RT Barbarius 12 participants | |
Auteur | Message |
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General RT Seigneur Templier
Date d'inscription : 10/12/2009 Nombre de messages : 3084
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mer 31 Mar 2010 - 15:13 | |
| il est vrai que dans des map tel que le défi des repaire si on jouairais a 3 le seule avantage que je vois possible sais le faite que on débute avec 3000$en plus étant donner que nous avon un autre companion mon but étais au début d'avoir cette campagne pour pouvoir la términer avec mon frère et un bon ami donc j'aurait la chance asser vite de recommencer a 3 je veut tester la difficulter du défi au maximum celon moi le dévelopement a 3 dois être très intéréssent pour ce qui est des partis a moi et barbarius au début du combat on se dois de sortir une petite défense mais un fois faite l'un des 2 seigneur s'occupe de défendre le chateaux et l'autre préparait l'attaque quand on seras 3 sais sur qu'on risque d'avoir moin d'or chaqun mais elle seras tout de même diviser a nos 3 même que je pensait m'occuper de l'or pendant que un fais la défense et l'autre préparer une petite attaque bref sa ce passeras bien et j'ai déjà hate de le refaire a 3 |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
Type de partie préférée : partie solo contre IA Age : 34 Date d'inscription : 20/06/2006 Localisation : Le Havre Nombre de messages : 5779 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 19 Avr 2010 - 20:38 | |
| - Défi n°4 - Le repaire du Loup
L'Émir vaincu, notre armée sent la fin du Sentier approcher. Sur les ruines des donjons de nos ennemis, nous avisons notre prochaine étape : de sinistres forteresses étoilées se dressant fièrement dans le ciel, des tours sombres annonciateurs d'un combat douloureux. Nos éclaireurs, envoyés après le combat contre les Émirs pour se renseigner sur ce qui nous attend, sont formels. Le Sentier semble animer d'une âme maléfique, et protège fermement ses occupants. Il n'y a pas d'autres moyens pour passer que de traverser à travers les redoutables bastions, dans des tranchées microscopiques, où même la lumière du soleil ne filtre. Depuis leurs murs et leurs tours, les soldats ennemis peuvent nous tirer comme des lapins, sans qu'il nous soit possible de leur répondre. Aucun doute, les damnés seigneurs de la région ont travaillé et aménagé ces tranchées pour en faire des gorgées impénétrables. Alors que nos montures s'approchent, d'obscurs nuages envahissent la région. Pour notre seigneur le vieux Barbare, c'est là le signe. Le Dieu de la Guerre veille sur les Loups, car ce sont bien eux, dans leurs immenses tours, qui nous attendent. Et leurs griffes sont prêtes à fondre sur nous. Encore une fois, l'idée de se replier, ou, tout du moins, de consolider nos positions pour essayer d'affamer nos ennemis en coupant leur réapprovisionnement, nous traverse l'esprit, mais nous la rejetons. La Horde ne sera jamais synonyme de lâcheté Le brave ne mourra qu'une fois, alors que le couard, lui, connaitra mille morts. Si c'est là la volonté du Dieu de la Guerre, que nous mourrions dans cette sinistre tranchée, à essayer de tenter l'impossible, alors qu'il en soit ainsi. La bravoure du Général nous attend. N'importe quel stratège censé aurait détalé depuis longtemps. Nos troupes sont éreintées, et ceux qui ont survécu aux Richards et peuvent encore se battre sont considérées par les jeunes recrues comme de véritables vétérans, de futurs héros de guerre. Quant à notre seigneur, il ne semble plus porter aucune trace, derrière sa lourde armure, des douloureuses blessures infligées par les troupes des Richards. Les plus proches d'entre lui savent cependant que son corps meurtri ne s'est toujours pas totalement remis de blessures si profondes, et qu'il ne peut toujours pas se battre trop longtemps, ni trop se déplacer.
Les Loups se dressent finalement devant nous. Alors que nous installions nos palissades, ils envoient quelques patrouilles d'hallebardiers. Ils seront impitoyablement massacrés, et nous enverrons par trébuchets leurs têtes pâles sur les murs du Loup qui nous fait face. Son imposant fort domine la région, et, quand nous nous couchons, nous voyons ses hautes tours illuminées par l'astre lumineux, comme s'il s'agissait du fort du Diable en personne. Car chaque homme en est persuadé : c'est le Diable qui sommeille dans ces terres. Cette bataille ne se gagnera pas par des assauts suicidaires, par des charges violentes. La stratégie des ennemis est parfaite. Il nous est impossible de les attaquer, car ils envoient continuellement des troupes des deux côtés. Impossible d'avancer dans la tranchée, dans ces conditions. Nous nous battrons pour chaque mètre carré, pour chaque grain de poussière. Dix de nos hommes tomberont par caillou, mais tant qu'il en restera un pour brandir notre bannière et continuer à avancer dans cette sanguinolente tranchée, nous continuerons à marcher et à hurler, jusqu'à ce que nos cris fassent vibrer les murs de nos ennemis, et pulvérisent leurs châteaux comme de vulgaires châteaux de cartes balayés par le vent. Nous sommes la tempêté qui traverse le Sentier, et les Loups seront balayés dans l'oeil du blizzard. Cela ne fait aucun doute pour nous.
En bloquant l'un des accès à la tranchée, nous parvenons à concentrer les assauts des ennemis sur une autre tranchée. Les assauts en question sont redoutables, et, à plusieurs reprises, le feu manquera ravager nos chaumières, quand ce n'est pas les catapultes de l'adversaire qui rasent nos tours, ou leurs invincibles hallebardiers qui découpent en deux nos hardis arbalétriers, balançant du haut des tours leurs cadavres qui s'écrasent mollement sur le sol, leurs os ensanglantés avalés par le sable qui s'abat tout autour de nous. Le Général devra se replier chez nous, ne pouvant stopper ces charges, son économie ravagée. Une ligne de défense se mettra en place, s'organisant autour d'une héroïque tour ronde. Mais le feu de l'Enfer finira par s'abattre sur nos forces. Une baliste incendiaire adverse parviendra à incendier une carrière, propageant un terrifiant incendie dans toute la ville, pulvérisant tout. Stupéfait, notre seigneur voit ses civils s'effondrer dans les flammes, leurs corps se tordant douloureusement sur le sol, tandis que nos ennemis frappent leurs armures avec leurs armes, hurlant à la victoire. Le goût amer de la défaite s'insinue dans notre âme quand les éléments se déchaînent. Une pluie diluvienne s'abat dans la région, des vents surpuissants recouvrent de sable les corps de nos ennemis, étouffant les flammes sous des tonnes et des tonnes de grain de sable éparpillés. Notre seigneur pousse alors, en brandissant sa hache vers le ciel, un rugissement terrifiant, rapidement rejoint par ses hommes, un cri de guerre qui s'élance d'un bout à l'autre du Sentier. La clémence divine du Dieu de la Guerre s'est fait entendre, offrant au Barbare une seconde chance de racheter son honneur en nettoyant l'incendie. La guerre reprend, mais, en échange de ce service, la peste et le choléra s'abattent sur nos artisans. Alors que le Général réintègre sa ville et la fortifie, le Barbare doit se séparer de ses artisans. La guerre pour le Repaire du Loup commence alors, et nos troupes s'élancent courageusement dans la gorge maudite.Une traversée cauchemardesque Nos troupes s'effondrent sous les tirs ennemis, et nos assauts, les uns après les autres, se brisent devant les forteresses des Loups. Non content de devoir affronter trois forts à la fois, il nous faut aussi contrer les bûcherons ennemis massacrant nos balistes, ou les hallebardiers adverses. Cette bataille sanglante, au lourds bilan humain, n'est pas sans rappeler à notre seigneur sa traversée, dans une autre vie, d'une tranchée similaire, en compagnie de son ancien compagnon d'armes, feu Shamila. En compagnie du Général, le Barbare continue à se ruer à l'assaut de l'ennemi. Les pertes humaines sont lourdes, mais, progressivement, le bras de fer tourne en faveur des assiégeants. Utilisant des trébuchets, des catapultes, des tours de siège, des mantelets, des massiers, et une phénoménale quantité de balistes incendiaires, les envahisseurs parviennent à réussir l'impossible, à briser le système défensif des Loups. Un passage se dégage, dans lequel nos massiers se ruent. Jeune et fougueux, le Général parviendra à éliminer très rapidement deux Loups. La perfidie des Loups est à son comble, car, en tuant un Loup, nous avons coupé la voie d'accès en hauteur. Il nous faut dès lors passer par la seconde tranchée, et affronter un autre bloc de Loups. Ceux-ci seront néanmoins moins coriaces, mais, terriblement vicieux, décideront de saborder leurs propres escaliers à l'aide de mangonneaux. En brisant les murs, ils nous condamnent à rester dans la tranchée, sans avoir la possibilité de monter, et ainsi à nous ôter la victoire pour un désespérant match nul.
Jamais ! Non, jamais nous ne contenterons de cela ! La première tranchée est jonchée de cadavres, qui s'empilent tellement qu'on pourrait, en les escaladant, sortir de la tranchée pour atteindre les hauteurs. Nous avons fait de terrifiants charniers tout au long de ce parcours, et ce n'est pas pour être bloqué par un minable escalier. Nos tours de siège, nos porteurs d'échelle, toute notre armée, s'élance pour briser les Loups. L'un de nos ennemis réussira presque à être ainsi protégé. Du chemin permettant de monter chez lui, il ne restera qu'une portion de mur intacte, sur laquelle une échelle se posera. Nos massiers, protégés dans la tranchée, attendront alors que les balistes incendiaires du Barbare, disposés sur l'autre versant, abattent les derniers soldats de notre adversaire, avant de s'élancer courageusement pour le massacrer.La dernière poche de résistance ennemie ne tiendra guère longtemps contre nos solides balistes incendiaires !| L'ultime charge aura alors commencé. D'un côté, le Barbare attaque le dernier des deux Loups, qui n'a plus de fort et plus d'armé,e tandis que le Général s'élance sur le Loup central, leur maître. Ses tours s'effondrent dans un râle d'agonie, son cadavre disparaissant dans les entrailles de son château. Nous pouvons enfin observer un coucher de soleil, en voyant, depuis les ruines fumantes, la fin du Sentier. Avec notre ultime adversaire, dont les éclaireurs ont observé la bataille, avant de se replier prudemment.
Saladin.La double mort tant attendue, la fin des Loups ! Commentaire - Indiscutablement la map la moins réussie jusqu'alors. Elle fut loin, contrairement à ce qu'on pourrait penser de prime abord, la plus difficile. Il est vrai que nous avons eu un peu de difficulté à repousser les assauts, mais rien de comparable à l'enfer que fut les Richards. La difficulté principale est venue de ces maudites tranchées, et plus particulièrement du passage final. Il y a de sérieux risques de blocage dans cette map, et c'est bien ce qui a failli nous arriver. De mon point de vue, le passage permettant de monter des tranchées au domaine des Loups est à revoir, car, à une portion de mur près, nous aurions été dans l'incapacité de tuer le dernier Loup. Du reste, et ce n'est pas lié à la map, j'ai rencontré une accumulation colossale de bogues dans cette partie : lags, connexions perdues, coupures toutes les six minutes, dès fois trois, ainsi que des bogues inédits, que je n'avais jusqu'alors jamais eu. Le premier concernait les balistes incendiaires, qui disparaissaient automatiquement quand on les faisait passer à travers les tours de siège. Le second est inexplicable, et concerne mes artisans, qui se sont tout bonnement mis en grève à un moment ! Du jamais vu : l'armurerie était accessible, vide, et il y avait suffisamment de bois dans la réserve pour faire une ville de 300 paysans. Ils restaient tout simplement les bras croisés devant leurs ateliers à attendre le Messie. |
| | | Luc dit le bien monté Seigneur Templier Maître Mappeur
Type de partie préférée : partie multi contre IA Age : 51 Date d'inscription : 25/03/2007 Localisation : 13 Salon de Provence Nombre de messages : 3133 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 19 Avr 2010 - 21:23 | |
| Je peux te dire que mes camarades les barbouzes ont eu du mal sur cette map et l'ont pas du tout trouvé facile.La difficulté justement et je vois que vous avez trouvé la solution c'est l'assaut des forteresses en utilisant une tour,et la difficulté c'est de tuer les ias dans un ordre pour ne pas perdre les murs.Cette map j'ai voulu que les joueurs se creusent les méninges et utilisent des engins de sieges et des troupes différentes des mercenaires que tout le monde utilise.Pour les bugs désolé mais avec mes amis barbouzes et LOUPIO ,nous n'avons eu aucun probleme.BRAVO tout de meme d'avoir trouvé la solution et bon courage |
| | | General RT Seigneur Templier
Type de partie préférée : Sans préférence Age : 35 Date d'inscription : 10/12/2009 Localisation : dans les montagne Nombre de messages : 3084 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 19 Avr 2010 - 21:27 | |
| oui en éfais tout c'est problème nous on presque couter la vie les artisant de barbarius on cesser de travailler très tôt beaucoup trop tôt de la le fais que lui et moi on a le même nombre d'arme produite sinon il avait une bonne longueur d'avance un problème très étrange que j'avais jamais vu au paravant si barbarius n'aurait pas eu la superbe idée d'envoyer des homme a échelle s'en étais finit de nous moi personellement je savais pas du tout que sa aurait pus être utille les murs était endomagée et pour moi c'étais la fin heureusement que je fesait affaire avec un grand seigneur d'expérience sinon toute étais a l'eau mais une fois de plus le barbare c'est servi de sa russe et on en est sorti victorieux maintenant plus que saladin et nous pourront finalement bruler leur carcasse et fêter la fin du repaire |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
Type de partie préférée : partie solo contre IA Age : 34 Date d'inscription : 20/06/2006 Localisation : Le Havre Nombre de messages : 5779 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mar 20 Avr 2010 - 23:19 | |
| - Défi n°5 - Le repaire de Saladin
La fin du Sentier est arrivée. Nous quittons les collines des Loups, marchant vers la super-forteresse du maître des lieux, le grand et redoutable Saladin. S'attendant à notre venue, il a amélioré ses structures traditionnelles. Le Général, qui a envoyé des éclaireurs, nous a averti. Saladin a vu nos combats, et nous prépare un accueil digne de ce nom. Il ne nous laissera pas le temps de nous installer, et foncera sur nous d'emblée. Ses avants-postes se dressent sur le rebord de la montagne. Nous nous étonnons du fait qu'il n'ait pas songé à prendre le contrôle des gués, préférant se replier dans les hauteurs. Sa forteresse impressionnante, gigantesque, s'offre à nous, avec ses ribambelles de tours et de corps de garde crachant des flots incessants de soldats et d'armes de siège. Nous nous installons, et repoussons les assauts ennemis. Aucun nuage ne vient troubler le ciel, et alors que nos camps se développent, la constatation s'impose aux yeux de notre seigneur : les faveurs du Dieu de la Guerre ont changé. Lui qui, auparavant, soutenait les défenseurs du Repaire, offre désormais sa bénédiction aux attaquants. Aucune aide divine ne viendra sauver les Saladins de leur funeste châtiment, et rien ne saurait nous arrêter de notre but. Les assauts ennemis ne tardent pas à se briser, et nos défenses se mettent en place, nos villes se développent, et nous commençons alors à attaquer la super-forteresse adverse. Notre seigneur se lancera dans un assaut frontal des plus violents, utilisant ses mangonneaux, ses arbalétriers et ses trébuchets pour attaquer les nombreuses troupes du Saladin lui faisant face. Le Général nous rejoindra alors avec ses troupes, une aide bienvenue, les tours de notre seigneur étant en piteux état devant ce long et difficile combat. Le Général arrivera à point nommé, et nous le rejoindrons, utilisant des massiers, des catapultes, et des balistes incendiaires. Le premier de nos ennemis tombera sans aucune difficulté notable, mais il ne restera plus que le Général pour sécuriser notre position, le Barbare reconstruisant une cinquantaine de balistes incendiaires pour aller le soutenir.Notre puissante ville Le premier de nos ennemis vaincu, Saladin n'aura plus qu'à compter les jours lui restant à vivre. Indestructible, notre légion marchera impitoyablement vers les forts de nos adversaires, les balayant. Les flammes purificatrices répandront l'horreur et la mort à l'intérieur de leurs enceintes, les balistes incendiaires transperçant les soldats ennemis. Transpercée, la ridicule super-forteresse des Saladin sera détruite, caillou par caillou. Plus rien ne pourra dès lors sauver nos adversaires de la mort qui les attend, et c'est avec une grande joie que l'ancien favori du Dieu de la Guerre a pu fièrement brandir sa hache sur cette région, devenant le Maître de ce Repaire.L'indiscutable triomphe des Barbares ! Un par un, les Saladin tomberont. Aucun de leur château ne nous résistera, et nous nous élancerons à l'assaut du dernier.La dernière charge, l'annonce de la victoire ! Les ruines fumantes de la super-forteresse des Saladin se mettront à brûler pendant des heures et des heures. Nos hommes creuseront d'immenses charniers, brûlant les cadavres. Notre seigneur regarda la région dévastée, et poussera un hurlement de rage, repris par tous nos hommes. Les cors de la victoire se feront alors entendre, dominant le brouhaha. Ils se feront entendre sur les tours ravagées des Loups, se répercutant dans l'ancien domaine de l'Émir, se faufilant à l'entrée du Sentier. Toutes les forteresses ennemies sont vaincues, et nos soldats hurlent la victoire. Depuis la montagne, le Barbare les regarde, contemple son armée s'étalant sur des kilomètres et des kilomètres. Cette fin n'est qu'un commencement. La guerre ne faisait que commencer. Un simple échauffement. |
| | | General RT Seigneur Templier
Type de partie préférée : Sans préférence Age : 35 Date d'inscription : 10/12/2009 Localisation : dans les montagne Nombre de messages : 3084 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mer 21 Avr 2010 - 0:49 | |
| c'est ainsi que cette merveilleuse campagne se términe un échaufement qui fut très agréable malgrée le nombre incalculable de soldat mort le triomphe finalement maintenant que tous les esclave du repaire de saladin son mort on peut finalement boire a leur défaite mais crier victoire trop tôt pourrais être une érreur. au dela des colline de saladin se trouve toujours des miller d'énnemie prêt a venir nous enlever notre trone.la fin demeure encore très loin qui sais qu 'est ce qui nous attend. |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mer 21 Avr 2010 - 7:13 | |
| Il n'y a plus qu'à attendre qu'on nous fasse une petite bannière qui ira à ravir dans ma collection. |
| | | Seigneur des Loups Noirs Seigneur Templier
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mer 21 Avr 2010 - 15:01 | |
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| | | General RT Seigneur Templier
Type de partie préférée : Sans préférence Age : 35 Date d'inscription : 10/12/2009 Localisation : dans les montagne Nombre de messages : 3084 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mer 21 Avr 2010 - 17:08 | |
| oui un grand bravo pour cette belle collection de bannière Barbarius, je vais commencer aussi les campagne de saladin et kill richard sa fais beaux toute cette couleur sous notre signature xD |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
Type de partie préférée : partie solo contre IA Age : 34 Date d'inscription : 20/06/2006 Localisation : Le Havre Nombre de messages : 5779 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Dim 23 Mai 2010 - 23:52 | |
| Ce n'était pas terminé. La bataille dans le Sentier des Repaires n'était pas finie. C'était là le message que le Dieu de Guerre nous avait adressé au Sanctuaire, là où nous nous étions repentis. Nous n'avions pas été jusqu'au bout du Sentier, la croisade était incomplète. Saladin avait d'autres vassaux en réserve, dans une partie secrète du Sentier, que nous n'avions pas vu après l'avoir tué. Et lui-même n'était qu'un vassal, un pseudo-maître. Le véritable seigneur du Sentier, le Nizar, se terrait toujours dans les profondeurs du Sentier, narguant par sa présence le Dieu de la Guerre. Nous repartîmes. La Horde s'ébranla, et retrouve le vieux camarade d'antan, le compagnon d'armes, le Général. Un simple hasard ? Nous n'y croyons pas. C'est là la volonté du Dieu de la Guerre. Retourner dans le Sentier, retraverser les ruines des châteaux de nos ennemis, traverser les cols entourant les cendres de la super-forteresse de Saladin, et trouver le détroit qui nous amènera là où nul visiteur n'a jamais été auparavant. Fouler le sol inconnu. Ce voyage, ce sera notre rédemption.- Défi n°6 - Le repaire du Rat
Un triste chemin serpentait à travers les montagnes et les rocs immenses. Évitant les ravins plongeant dans des abysses sans fond, nous atteignîmes avec les troupes du Général un plateau misérable, à peine grand pour y établir un palais. Nous avons à peine le temps de poser nos armes que deux émissaires arrivent depuis un canyon sans fin et terriblement étroit. Leurs corps sont poussiéreux et rachitiques, comme s'ils manquaient de nourriture. Leurs armures sont de simples peaux de bêtes, et leurs armes de simples lances. Mais nous voyons sur leurs écussons et leurs cuirasses une tête de rat. Ils nous expliquent qu'ils savent qui nous sommes, et que nous n'apportons pas la paix. Le Rat, vassal du Serpent, lui-même vassal du Nizar, nous explique qu'il ne nous laissera pas passer, et que nous devons retourner sur nos pas. Ils ont fortifié leurs positions, et ce plateau sera notre tombeau si nous n'écoutons pas la voix de la raison. Depuis son donjon, notre seigneur regarde les deux émissaires, et ordonne à l'un de ses archers d'en tuer un, le Général tuant l'autre. Ainsi se terminent les négociations. Nous avons à peine le temps de brûler les cadavres qu'une pluie de cailloux surgit du ciel. Nos hommes s'abritent derrière des maisons, dans le donjon. Nous voyons les pierres se heurter contre la paroi du donjon, traverser le toit de nos chaumières, manquant les détruire.Là, l'un de nos esclaves se reçoit une pierre dans le dos, broyant ses os, l'envoyant se clouer au sol, dans une flaque rougeâtre, dégageant une odeur infecte. Sortant de sa chambre, notre seigneur se rend alors sur le toit de son donjon. Derrière des mantelets, ses archers tirent sur les archers ennemis, se tenant derrière des rochers sur des plateaux infranchissables nous faisant face. Une flèche finira même par atteindre notre seigneur, se brisant contre son armure. Nous n'avons aucune ressource pour nous développer. Juste quelques arbres maigres et tristes par le manque d'eau, et un gisement de fer. Notre seigneur lève alors sa main droite à mi-hauteur. Tous nos soldats le regardent alors, connaissant ce geste et sa signification. S'il abaisse sa main jusqu'en bas, c'est le signe qu'il faudra se replier, signe que nous en pouvons tolérer ou admettre. En revanche, s'il abaisse sa main pour saisir sa hache et la pointer vers les ennemis, c'est le signe que nous mourrons plutôt que de fuir. Ses doigts semblent indéfiniment suspendus en l'air. Les flèches des ennemis et les boulets qui sifflent aveuglent notre vue. Une baliste ennemie siffle à côté de notre seigneur, trouant sa cape, frappant un archer dans l'estomac, le faisant tomber dans un hurlement de douleur à travers une boulangerie. Mais cela n'est d'aucune importance. Car la hache est brandie dans le ciel. A mort !!!De son autre main, notre seigneur ordonne à nos ingénieurs de faire des trébuchets. Lui et le Général bombardent les tours rondes ennemies, plantées dans la roche, et parviennent à les démolir. Mais les Rats surgissent alors, avec des nuées interminables de lanciers et d'archers. N'ayant pas le temps de faire des arbalétriers, la Horde se contente d'archers sur le toit de son donjon, décochant des multitudes de flèches pour faucher les innombrables adversaires qui viennent sans cesse. Les flèches filent à volonté, traversant les multiples lanciers. Les Rats sont de piètres seigneurs. Leurs soldats n'ont que la peau sur les os, et semblent avoir du mal à marcher ou à porter leurs lances. Une seule flèche à peine suffit à les tuer, et nos archers sont des experts. Ils ne loupent aucun de leurs coups, mais nous sommes en sous-nombre face à des vagues incessantes. Notre seigneur devra même personnellement descendre à un moment pour ralentir les lanciers ennemis. Ils étaient alors environ une quinzaine à venir. " Approchez, misérables, vermines", scandait notre seigneur en venant vers eux. Un lancier pointa sa lance vers notre seigneur. Le poing de notre maître y répondit, brisant les vertèbres de son adversaire, avant qu'il ne brandisse sa hache. La lourde arme refléta les rayons du soleil, scintillant d'une énergie vibrante avant de faucher les vertèbres et les organes des ennemis. Un seul ennemi restera en vie, notre seigneur ne lui ayant coupé qu'une partie d'un bras. L'attrapant par les cheveux, il le traînera dans le donjon sous ses hurlements de douleur, le conduisant dans les cachots. C'est ainsi qu'il apprendra les différents pièges attendant les envahisseurs. A l'entrée du canyon, dissimulée derrière des rochers, de multiples lanceurs de feu n'attendaient qu'un geste pour balancer des cendres enflammées sur nos troupes. Le sol avait été travaillé de manière à s'enflammer à la moindre étincelle. Venait ensuite une cour centrale qui avait été travaillée pour permettre aux ennemis de descendre à travers des corps de garde taillés dans la pierre. Quatre corps de garde fermaient cette cour. Il fallut à ce moment torturer un peu plus le lancier, ce dernier refusant de parler. Il évoqua des arbalétriers dissimulés dans les murs, avant de mourir de ses blessures. Nous commençons par réorganiser notre défense, pour pouvoir mieux réfléchir à l'assaut. Notre seigneur place ainsi quelques tours de guet à l'entrée du canyon, d'où ses arbalétriers et les archers du Général accueillent sans problème les ennemis, avant de tuer bon nombre de lanceurs de feu. Une défense redoutable qui mettra fin aux incursions de nos misérables ennemis Le Général et notre seigneur se réuniront sous un tir constant d'arbalétriers. Les fosses empoissées de nos ennemis auront été enclenchés par mégarde par leurs lanceurs de feu, tuant leurs propres troupes. Nos soldats s'amusent à abattre tous les lanciers qui se pointent, sécurisant la première partie du défilé. Il apparait très vite à nos seigneurs que le seul moyen de passer et de vaincre ces maudits Rats sera de sécuriser le centre du canyon. Nous ne nous attendons pas à une forte résistance, et notre seigneur envoie ses 70 arbalétriers et ses 30 mantelets. Les quelques lanceurs de feu restants ne peuvent faire grand dégât, et nous repoussons sur la route, grâce à l'aide des massiers du Général, les quelques lanciers qui nous attaquent. Nos troupes atteignent finalement le canyon central, une véritable fosse d'où de multiples archers nous tirent dessus. Nos arbalétriers rétorquent, et s'avancent vers les douves nous barrant la route. C'est à cet instant qu'une pluie de flèches mortelles jaillit depuis les balistes. De longues tiges enflammées qui transpercent et incendient nos mantelets, immolant nos troupes dans des hurlements d'agonie, avant de déchiqueter nos arbalétriers, les coulant au sol, ou les coupant en deux de la tête aux pieds, transformant leur crâne en un geyser de sang et de neurones s'éparpillant sur le sol. Où sont les balistes incendiaires ? Où sont-elles ? Nous n'en voyons pas ? Quel est ce maléfice, cette diablerie ? Nos arbalétriers tombent les uns après les autres comme des mouches, avant que nous ne comprenions l'origine du mal. Les corps de garde ! Les balistes incendiaires sont dissimulés à l'intérieur, et nos carreaux ricochent contre la pierre ! Nous sommes à la proie de nos ennemis,e t nous ordonnons immédiatement le repli. Un archer s'élance vers l'entrée du défilé, essayant d'alerter les renforts de ce qui les attend, mais une flèche lui transperce la tête, faisant rebondir son corps sans vie contre les pierres avant qu'il n'heurte violemment la paroi. Il faut tenir. Tenir la position à tout prix. Les Rats nous attaquent avec rage, envoyant des hordes de lanciers, tandis que nos mantelets se réduisent à toute allure. S'ils s'effondrent, plus rien ne pourra protéger nos arbalétriers des balistes incendiaires. Nous sacrifions nos massiers et ceux du Général pour démolir un corps de garde, mais il en reste encore trois. Le Général parvient à renvoyer des massiers pour stopper les lanciers qui s'attaquent à nos arbalétriers affaiblis. Nul n'en sortira indemne. Ils se battent au milieu des cadavres de leurs frères, utilisant les carreaux de leurs arbalètes à bout portant, plongeant dans les tripes fumantes de leurs défunts camarades pour prendre leurs arbalètes, et recommencer à tirer. Les ingénieurs de notre seigneur arrivent alors, et forment aussi vite qu'il est possible de le faire des catapultes. La première se reçoit une volée de flèches en provenance des balistes, et s'étouffe dans un bref jaillissement de flammes.. Les catapultes restantes filent au milieu des mantelets, et commencent à tirer. La roc ne protège pas la pierre, qui s'effrite lentement, mais sûrement. Les corps de garde explosent alors, explosant les balistes incendiaires qui ont tué tant de nos frères, et que nous détruisons sans la moindre hésitation. Un autre piège perfide de nos ennemis réduit en poussière. Ce n'était qu'une question de foi pour prendre le centre de ce maudit défilé Nous progressons, et nous ne comptons plus le nombre de nos frères décédés, ou des ennemis tués. Nos arbalétriers se battent de jour comme de nuit dans ce trou puant, d'où s'échappe des exhalaisons maléfiques, des turpitudes infernales. Ils doivent repousser les vagues de lanciers venant vers eux, mais aussi les archers qui tirent depuis les collines environnantes, leurs flèches traversant les armures en cuir de nos soldats, que nous devons alors achever le plus rapidement possible à l'aide de nos dagues. Le Général nous rejoint avec des balistes incendiaires. Nos nuits dans ce trou sont quasiment tout le temps interrompus par des attaques surprises de nos ennemis, jusqu'à ce que nous nous décidions à attaquer la dernière partie de ce canyon maudit. Des rangées d'arbalétriers nous tirent dessus entre les rochers. La bataille est loin d'être terminée, et nous continuons à tirer. Nos gestes deviennent presque mécaniques, maintenant. Recharger l'arbalète en s'agenouillant, la relever avec les deux mains, et tirer au jugé en espérant toucher les ennemis, tout en priant pour ne pas se recevoir un carreau. Combien de fois avons-nous déjà effectué ce geste dans ce défilé ? Nous sommes de temps en temps récompensés en voyant le cadavre transpercé d'un de nos ennemis dévaliser de sa cachette, heurtant les rochers avant de tomber devant nous. Il nous faut également affronter les lanciers ennemis. Nos trébuchets tirent entre-temps sur deux tours carrées au fond du canyon, disposant de mangonneaux. Nous nous battons au corps-à-corps, jusqu'à ce que le cor du Néant résonne. Les mangonneaux sont tombés ! " CHAAAAAARGEEEEZ !" s'époumonent nos lieutenants et capitaines dans des hurlements. Nous nous ébranlons, traversant le canyon jusqu'à l'autre bout. Une immense muraille nous toise. Des arbalétriers et des lanceurs de feu nous accueillent, et nous apercevons à la sortie de ce canyon deux bataillons de spadassins européens et des séries de chiens enragés qui se ruent sur nos arbalétriers. L'un d'eux essaie inutilement de lui tirer dessus. L'animal le renverse, et le mord à la gorge, avant qu'une volée de carreaux ne le tue, transperçant aussi au passage sa victime. Les massiers du Général surgissent. Les gueules des chiens bondissant vers nous se reçoivent des coups de masses qui font gicler leurs dents dans de longues traînées ensanglantées qui s'illuminent sous le soleil. Leurs corps rebondissent lourdement sous le sable, et notre seigneur doit alors diriger ses 100 arbalétriers piégés dans le canyon. Utilisant les parois, les lanciers ennemis peuvent en effet surgir devant nos arbalétriers à l'improviste. En leur tirant tous ensemble, nous parvenons cependant à les éliminer. Ils tombent vingt par vingt, avant que nous en continuions à affronter les spadassins et les arbalétriers ennemis. Le sable est tellement rouge de sang qu'il ressemble à une boue infecte où nous pouvons aisément glisser, sans possibilité de se relever, tant nous risquons d'être piétinés par nos frères, qui nous prendront alors pour des morts. Notre vie ne tient qu'à un fil, en sursis au bout de ce défilé. Le dernier arbalétrier est finalement atteint d'un carreau en pleine tête. Une petite gerbe de sang éclabousse le sang d'un massier, qui pousse un hurlement de joie. Nos troupes sortent du canyon, montant un chemin remplie de fosses piégées qui les amène devant la forteresse du premier Rat. Même le plus valeureux de nos guerriers ne marche debout que par automatisme, sans vraiment savoir où il se trouve. Depuis les forteresses des Rats, les archers ennemis nous tirent dessus, mais leurs flèches rebondissent contre nos mantelets. Le Général, de son côté, attaque avec ses balistes incendiaires l'autre côté du plateau. Nous nous mettons à tirer sur les spadassins européens protégeant chaque Rat, de solides bataillons que nos massiers éreintés ne pourront pas tuer. Nos arbalétriers tirent au hasard, répétant les exercices d'entraînement effectués lors de leur formation. Ce n'est que grâce à leur entraînement et à leur moral d'acier qu'ils peuvent continuer à se battre. C'est l'entraînement rigide et impitoyable des Barbares qui nous offrira la victoire. Le corps de garde ennemi s'effondre. Nous n'attendons pas que ces chiens soient tués pour foncer. Fauchant les lanciers, nous nous attaquons aux spadassins européens protégeant le premier Rat, misérablement terré dans son fort. Ces soldats d'élite sont redoutables, et tuent beaucoup de nos hommes. Ils sont plus forts que le Rat lui-même, mais finissent tant bien que mal par tomber. Nous ne laisserons même pas le temps au Rat de gémir. Une masse heurte sa tête, le faisant tomber sur son balcon où une pluie de carreaux le transperce de part en part, faisant tomber son corps exsangue en contrebas. Nos troupes s'attaquent à l'autre Rat. Lorsque ses hommes tombent, ce dernier propose alors de se rendre, en affirmant détenir des informations sur la localisation de son seigneur, le Serpent, prochaine étape du Sentier. Nous ne sommes pas là pour négocier ; un carreau traverse sa tête. Nous quittons ce plateau pour s'attaquer au Rat-maître, celui qui avait réparti ses troupes sur tout le canyon. Ses troupes seront balayées en un rien de temps, tandis que le Général parvient à tuer son premier Rat. Nous utilisons une tour de siège pour atteindre le donjon de l'ennemi, et fondre sur lui, emportant presque le Rat dans notre course. Il ne reste plus qu'un Rat,e t le Général quasiment perdu toutes ses balistes incendiaires. Nous allons le rejoindre, tandis que l'ennemi envoie tous ses lanciers dans une charge suicidaire. Nous laissons le Général s'amuser avec eux, en fonçant vers ses murs. Nos massiers courent sans s'arrêter, les flèches des rares archers encore debout sur les murailles ne parvenant pas à les arrêter. Ceux qui se reçoivent une flèche dans le bras jettent leur masse et courent en attrapant une dague pour frapper avec cette arme les murs. Ceux touchés aux jambes rampent sur le sol. Ce n'est qu'une question de foi. Entre-temps, les lanciers du Rat sont si nombreux qu'ils parviennent à tuer les massiers du Général, avant de marcher vers ses balistes. Sans importance. Nous sommes dans son son donjon, tuant ses ultimes gardes. Une masse s'abat sur son casque, le faisant voler. L'homme tombe au sol, le sang s'échappant de son crâne, avant de lever la main, par pitié. Nous le traînons dehors sans aucune politesse. Notre seigneur et le Général nous ont rejoints, et portent le Rat près du vide du canyon central, ressemblant maintenant à un lac ensanglanté. Il ne tarde pas à nous dire où se trouve son maître, le Serpent, en nous suppliant de lui laisser la vie sauve. Pour toute réponse, notre seigneur lui ordonne de se relever et de se montrer digne. Notre ennemi pleure, le sang coulant sur sa tête. Ce spectacle lamentable et dégoulinant de bêtise exaspère le seigneur. C'est à cause de misérables comme ça que nous avons perdu tant de frères d'armes, là-dessous ? Le poing du Barbare s'abat sur la mâchoire de notre ennemi, qui pousse un hurlement de douleur en tombant dans le vide, son corps se brisant sur le sol, où une série de carreaux mettent définitivement fin à ses souffrances. Notre prochaine cible nous attend. |
| | | GRIBOUIL Seigneur Templier
Type de partie préférée : partie multi contre IA Age : 54 Date d'inscription : 21/02/2006 Localisation : Chateaudun Nombre de messages : 7008 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 24 Mai 2010 - 18:17 | |
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| | | Endoftheday Rôdeur
Age : 51 Date d'inscription : 13/08/2009 Localisation : Sainté Nombre de messages : 464 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 24 Mai 2010 - 18:35 | |
| Et ca avance à grands pas ! |
| | | General RT Seigneur Templier
Type de partie préférée : Sans préférence Age : 35 Date d'inscription : 10/12/2009 Localisation : dans les montagne Nombre de messages : 3084 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 24 Mai 2010 - 19:08 | |
| oui barbarius le prodige avec tout ces beaux récit sa rend la campagne beaucoup plus intéréssente déjà que les map sont super alors la ont a un super résumer de toute la guerre en détail vraiment chapeaux |
| | | GRIBOUIL Seigneur Templier
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 24 Mai 2010 - 19:11 | |
| Pour le serpent, je vous demanderais juste de mettre l'un des deux à gauche, près de l'entrée. Pour rendre la mission un peu moins facile que si vous vous défendez à deux sur la droite.
J'ai hate que vous testiez celle de Nizar, puisqu'elle n'a pas été testée celle la. |
| | | General RT Seigneur Templier
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 24 Mai 2010 - 19:19 | |
| oui aucun prooblème gribouil content que tu le précise tu avais bien raison pour le rat y faut pas toujours se fier au apparence tout ces petit lanceut de feu et tout ces albalétrier dissimuler dans la ierre c'étais pas un cadeaux tout sa hier pendant qu,on essayais ta map du rat durant notre première essais la map coupais toujours en février 1984 on a donc recommencer de nos save et sa coupais toujours. donc on en est venu a la comclusion de recommencer la mission a 0 et la plus aucun problème par la suite ? bizzare tout de même aucune idée d'ou sa provient |
| | | GRIBOUIL Seigneur Templier
Type de partie préférée : partie multi contre IA Age : 54 Date d'inscription : 21/02/2006 Localisation : Chateaudun Nombre de messages : 7008 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 24 Mai 2010 - 20:19 | |
| Moi non plus, cette map on l'a testé au moins deux fois sans problèmes. Content que la deuxième fois il n'y ai pas eu de problèmes.
Oui, le rat seul évidement de vaut pas un clou, mais il est toujours possible de rendre son accès difficile. |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Lun 24 Mai 2010 - 23:44 | |
| Nous pansons nos blessures. Les Rats furent des adversaires irritants, et nous avons perdu beaucoup d'hommes. Nous quittons les terres des Rats, avant d'atteindre rapidement un oasis. Depuis un haut-plateau, des cavaliers nous observent. Nous reconnaissons sur leurs boucliers un serpent doré. Nous y sommes. Le Serpent est là. Notre ancien ennemi, le Duc de Beauregard, se trouve ici. A cette pensée, nos coeurs se remplissent de haine. Cet ancien duc déchu avait jadis opprimé notre peuple. Pendant des années, nous l'avons traqué, lui qui avait tenté de briser notre culte au nom de ses divinités fausses et païennes. Le Sentier nous apparait comme plus qu'une simple campagne dans un lieu inconnu. C'est un lieu d'épreuve envoyé par le Dieu de la Guerre, où nous y retrouvons nos vieux ennemis. La Horde marche ragaillardie vers l'entrée du Chemin du Serpent, pour rejoindre les ennemis, vautrés dans la luxure d'un immense oasis. Nous approchons du corps de garde, quand une pluie de carreaux venant du Sentier s'abat soudain sur nous. Nous voyons alors des plates-formes se dresser entre des rochers, et des pierres surgissent du ciel, se brisant sur nos fantassins. Le Général se replie à l'entrée de l'oasis, tandis que nous nous retrouverons piégés dans la gueule du Serpent.- Défi n°7 - Le repaire du Serpent
[justify]Était-il seulement possible d'être plus idiot ? De faire preuve de plus de négligence et de naïveté ? Comment avions-nous pu penser que Beauregard nous affronterait dignement ? Ce lâche, reptile et infâme, n'a décidément aucun honneur ! Nos esclaves se font charcuter par ses arbalétriers, et nos troupes sur le donjon sont massacrées en quelques secondes. Nous sommes coupés du Général, seul face à nos ennemis. La situation est critique, encore plus critique que contre les Rats. Un mur est érigé pour protéger nos serfs. La situation est d'autant plus critique que tous nos ingénieurs ont été tués. Impossible de créer des balistes ou des mangonneaux, nous en sommes réduits à utiliser les réserves du donjon pour obtenir des mantelets et les placer sur une tour ronde d'où nos arbalétriers affrontent les ennemis. Il n'est rien que nous ne puissions faire. Nos fermiers sont massacrés, et les Serpents envoient sur nous des catapultes, qui balaient progressivement notre ville, ravageant notre tour. La Horde ne peut rien faire, nous avons dépensé tout notre or pour sécuriser la position en tuant les ennemis les plus proches, et nos troupes se replient dans le donjon. Les catapultes détruisent tout, et il ne nous reste plus que quelques ateliers et seulement le grenier pour produire de l'or et des troupes. La situation est dramatique, et il faut attendre l'arrivée du Général pour se relever de nos blessures. Digne des Barbares, le Général a su exploiter tout l'oasis pour arriver avec une puissante armée, mélangeant balistes incendiaires, mantelets, et arbalétriers. Ses troupes font feu sur les ennemis du piège du Serpent, et parviennent enfin à les éliminer. C'est le signe du renouveau, mais combien de temps fallut-il pour cela ? La Horde s'est ridiculisée. Elle a été humiliée par son arrogance, tombant dans le plus grossier des pièges. Mais les Barbares se refusent à être ainsi humiliés ! Notre peuple ne connaîtra pas l'affront de l'échec ! Non, cela n'est pas permis, et n'est pas acceptable ! Nous prenons d'assaut le corps de garde menant au fort ennemi, avant de nous construire, de nous construire enfin, implantant nos fermes, replaçant nos auberges, nos brasseries, et nos ateliers du boulanger. Les fouets du Néant doublent l'ardeur de nos esclaves, et les cheminées des ateliers se mettent à cracher jour et nuit de la vapeur. Le Général part seul à l'assaut du Sentier du Serpent, utilisant naïvement ses massiers. Il n'a pas compris que l'endroit était truffé de pièges. La Horde le rejoint, utilisant 100 arbalétriers pour sécuriser la longue route menant à l'oasis du Serpent. Les massiers du Général nous rejoindront dans notre marche vengeresse. Car nul ne peut stopper la marche de la Horde ! Mourrez, infidèles ! Nous atteignons la fin de la Queue, et le Général se rue sur le premier Serpent. Beaucoup de ses hommes sont morts empalés sur cette route, sur ce Sentier infernal, et nous pouvons comprendre sa colère. Nos arbalétriers hurlent avec lui, encourageant ses troupes à atteindre le fort ennemi, et à tuer le premier de ces chiens galeux. Ses troupes traversent la ville ennemi, fauchant les serfs, les lanciers et les misérables archers, les cailloux des frondeurs rebondissant sur leurs casques. Ils s'aventurent dans le donjon et se heurtent alors aux chevaliers d'élite. Des spadassins européens semblant animés par la volonté du Dieu de la Guerre en personne. Pour un des leurs tués, dix des massiers du Général s'effondrent. Leurs masses se brisent contre leurs armures parfaites, et leurs épées fauchent leurs armures en cuir. Quelques massiers parvienne,t hagards, à sortir du château du Serpent, avant d'être impitoyablement fauchés par des archers ennemis. Un silence de plomb s'abat sur le Sentier. Puis les pieds résonnent. Les coups frappés contre la roche. En cadence, comme si mille séismes s'abattaient sur le Serpent, prêt à détruire cette formation rocheuse maléfique. Nos arbalétriers s'aventurent dans l'oasis des ennemis, et abattent les derniers gardes du Serpent, tout en repoussant les ennemis, avant que nos propres massiers aillent tuer le Serpent. Et d'un. Le reste de la bataille se compliquera. Les assauts incessants des Serpents, les multiples archers arabes et européens défendant leurs tours, seront autant de facteurs qui affaibliront nos troupes. Le Général reviendra avec une surpuissante armée, bien décidé à se venger, mais attendra que nos arbalétriers affaiblissent les garnisons ennemies avant de les attaquer. Nous atteindrons ainsi le donjon de notre dernier ennemi, et y lanceront nos massiers. Sur les cadavres des derniers morts des gardes d'élite, nous verrons les écussons de nos ennemis. Le motif sanglant, marquant, et inoubliable. La preuve flagrante que tout cela n'était qu'une épreuve divine, nous menant sur les voies de notre plus ancien ennemi. Le Duc de Beauregard s'est enfui. Fidèle à ses habitudes, il est parti avec un cheval tandis que ses vassaux mourraient dans d'atroces agonies. Sa traque ne nous est d'aucune utilité. Entendrions-nous un jour parler du Serpent que cela n'a pour le moment guère d'intérêt. Car les écussons sanguinolents des spadassins européens sont ceux de notre plus vieil ennemi, les motifs sanglants des héritiers du Publicae. Le véritable maître du Sentier des Repaires. Nous reprenons la route, le coeur lourd. Lourd de haine et de vengeance. Notre ancien ennemi juré est là, et nous nous rappelons les batailles, les massacres et les échecs. Nous enterrons pour de bon l'ennemi ancien, dussions-nous pour cela réduire en cendre tout le Sentier des Repaires ! Il ne restera pas un seul survivant ! Nous le transformerons en cimetière ! |
| | | GRIBOUIL Seigneur Templier
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mar 25 Mai 2010 - 20:00 | |
| A refaire, je pense que tu arriverais beaucoup mieux à te protéger dès le départ, mais comme tu dis toi même, tu ne t'attendais pas à une telle résistance ou attaque au départ, que tu considère comme un piège. Disons que tu es tombé en plein dans une embuscade.
Je suis content de lire tes récits, car je pense qu'il sont la preuve que tu as eu plaisir à jouer. |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mar 25 Mai 2010 - 20:28 | |
| Au début, non. Je pense qu'autoriser les balistes serait une bonne idée, car on ne peut absolument rien faire contre les catapultes, qui pulvérisent toute la ville. |
| | | GRIBOUIL Seigneur Templier
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mar 25 Mai 2010 - 20:44 | |
| Disons qu'avec les balistes, une fois que tu en as fait un certain nombre, la partie est gagnée. Mais à part ton donjon, il y a moyen de déplacer tout le reste ... |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mar 25 Mai 2010 - 21:36 | |
| La partie est gagnée dès le début d'un certain point de vue, puisque les ennemis ne peuvent pas attaquer. Les catapultes des Serpents s'acharnant sur un joueur, cela laisse à l'autre l'opportunité de pouvoir se développer. Le problème est que l'un des deux joueurs s'ennuie ferme en attendant que l'autre vienne l'assister. De plus, je ne vois pas en quoi des balistes peuvent aider à prendre le Chemin du Serpent, qui est pour moi assez difficile à traverser, avec les multiples pièges qui y sont dressés. Enfin, s'il est effectivement possible à deux de se replier, je ne vois pas comment, à trois, le joueur exposé près de la gueule du serpent pourrait réussir à s'exiler ! |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Mar 1 Juin 2010 - 22:20 | |
| Après des égarements, notre route nous ramène dans le Sentier. Il est temps d'en finir, le Dieu de la Guerre a soif. Nous n'avons pas encore fini de purifier le Sentier. Nous reprenons la route, avec des renforts, traversant les terres désolées de nos anciens ennemis. Le Wazir, notre premier ennemi. La bataille remonte à si loin, maintenant... Un adversaire qui ne nous aura guère impressionné. Nos chevaux nous conduisent aux tours fumante de Richard. Nous nous rappelons la bataille centrale, nos dizaines de mangonneaux crachant des salves mortelles sur un ennemi qui semblait alors invincible. Au-delà des collines que l'ennemi surveillait, nous avions alors vu la tombe de l'Émir. Un adversaire qui n'aura fait que nous gêner. Plus loin encore, nous atteignons une autre étape du Sentier, nous rappelant les imprenables châteaux des Loups. Les étroits canyons sont encore imprégnés du sang de nos frères tombés au combat. Les Loups gardaient l'accès à la super-forteresse de Saladin, dont les murs ravagés sont des signes de la bataille colossale qui a eu lieu. Nous atteignons alors les terres du Rat, ce couard qui s'était retranché dans la colline. Notre seigneur s'arrête devant le monument aux morts dressé après la bataille, en mémoire à tous les frères tombés. Nous atteignons ensuite le chemin du Serpent, cet adversaire qui nous avait piégé, et avait annihilé toutes nos forces. Bien des semaines après, nous revenons. Entends-nous, Nizar, car ton heure est venue ! Nous traversons le chemin gardé par les Serpents, jusqu'à rejoindre les troupes du Général, réfugiées dans une plaine où ils ont tenté de faire des douves pour se protéger. Les Nizars envoient jour et nuit des commandos pour les affaiblir, se cachant derrière les roches, tentant des embuscades aux éclaireurs. Le moral de ces survivants est à bout, et nous venons les aider. Malheureusement, nous comprenons que cet endroit est un traquenard. Plusieurs généraux ennemis nous encerclent avec leurs hommes, et, depuis une colline dominant la région, le Nizar nous observe. Qu'il observe donc !- Défi n°8 - Le repaire du Nizar
Les ennemis n'ont pas eu le temps de dresser des pièges. Il nous est dès lors facile de les accueillir comme il se doit. La meilleure défense, c'est l'attaque ! Le Général et notre seigneur se ruent successivement sur les généraux ennemis, utilisant des ribambelles de massiers et de mantelets pour percer les lignes ennemies. Nos escarmouches nous permettent ainsi de tuer trois des généraux ennemis. La bataille est gagnée d'avance. Terrorisé, le dernier ennemis e recroqueville dans sa ville, tandis que nous établissons deux tours rondes pour pilonner son campement à l'aide de mangonneaux. Impuissant, leur maître observe la débâcle de ses hommes. Est-ce là vraiment le dernier seigneur du Sentier ? Nous nous refusons à le croire. Nous sommes revenus ici pour l'éliminer, et pour savoir où se terre notre ancien ennemi, dont nous avons affronté les chiens contre nos derniers ennemis. Où se cache le Publicae, qui a abandonné le Nizar, l'abandonnant à son sort ? S'est-il encore enfui en laissant le soin à ses derniers esclaves de nous retenir ? Avons-nous perdu trop de temps à errer dans le désert ? Nous attaquons le dernier Nizar après avoir implanté nos villes, à l'aide de mantelets, d'archers, d'arbalétriers, de lanciers, et de massiers. La mort du dernier des généraux ennemis ; une partie de plaisir ! Le dernier Nizar semble inaccessible sur sa colline. A l'aide d'une tour ronde, nos arbalétriers parviennent à détruire sa garnison, tandis que nos stratèges cherchent un moyen de passer. Éreinté, notre seigneur, pas encore totalement remis de son combat contre White Shadow, se repose dans son donjon, pansant ses blessures, pendant que le Général cherche un moyen de passer pour éliminer l'ennemi. Son ingéniosité lui permet de passer. Meurs, Nizar, ridicule Nizar ! La partie est finie. Le Nizar est vaincu. Notre seigneur, entouré des hommes du Général, l'interroge. Où sont passés nos ennemis ? Où se cachent-ils ? L'homme refuse de parler. Les coups s'abattent sur le corps de l'ennemi, qui finit à terre dans son donjon, crachant du sang sur le sol, avant de pousser un sinistre ricanement entrecoupé par ses gémissements rauques. Il nous affirme que c'est loin d'être fini. Le véritable maître du Sentier, notre véritable cible, est encore caché dans ses montagnes. Il nous certifie de même que, si la chance nous a souris jusqu'ici, ce ne sera plus le cas dans la dernière partie du Sentier. Le repli ou la mort, c'est ce qui nous attend si nous nous enfonçons encore plus dans le Sentier. Nous laissons ce dément aux mains des hommes du Général, avant d'enfoncer notre cheval. Devant nous, il n'y a que des rochers. Le Général vient nous voir, et nous demande quand il aura à nouveau l'honneur de partager sa lame avec la hache du Barbare. Nous lui répondons que ce qui peut sembler être un adieu dissimule souvent une autre aventure. Nous quittons le Sentier après en avoir fini avec son dernier occupant, mais nous avons l'intime conviction que les sauvages montagnes de cette région n'ont pas encore révélé toutes leurs subtilités, et que nous reviendrons prochainement dans ces terres désolées. |
| | | GRIBOUIL Seigneur Templier
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Ven 4 Juin 2010 - 21:50 | |
| On s'était demandé en la testant si le rush n'était pas une solution pratique. Je crois que tu viens d'y répondre.
Vous en avez tué 3 dès le début du jeu ? Si c'est le cas, il faut que je modifie cette map. Cela n'enlèvera pas votre victoire. |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Sam 5 Juin 2010 - 0:17 | |
| |
| | | Renaud de Châtillon Seigneur de Guerre
Age : 32 Date d'inscription : 08/09/2008 Localisation : Cholet, France Nombre de messages : 3054 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Sam 5 Juin 2010 - 9:44 | |
| Bravo à vous deux ! Et bonne chance pour la suite ! |
| | | General RT Seigneur Templier
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Sam 5 Juin 2010 - 16:00 | |
| au faite gribouil pour la suite est se que c'est déjà commencer c'est nouvelle maps ? dans cette mission le niveaux de difficulter n'étais pas très élevée le faite de placer 5 IAs près de nous ne nous désavantage pas du tout mais au contraire il désanvantege les IAs. un des seule point ou je peux dire que les ias sont dérangeant c'est quand on éssai de creuser ses douve autour de nos ressource les tour des ias sont très près donc on se fais tuer tout nos escllave quand on essais de creuser mais bon un bref détaillle et merci renaud pour tes encouragement mais t'inquiète peut importe qui reste sur le sentier quand il croiseront les barbares il ne feront que fuir se fesant rattraper par nos grande hache toujours la pour tenir l'ordre et le chaos |
| | | GRIBOUIL Seigneur Templier
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares Sam 5 Juin 2010 - 21:33 | |
| Je vais faire celle de l'abbé cette semaine, j'aurais le temps je suis en déplacement. Par contre, Luc m'a dit qu'il était à court d'idée pour le porc, donc on verra bien pour la dernière. Sinon j'en ai une de réserve, mais à la base, elle ne plaisait pas à luc. |
| | | General RT Seigneur Templier
Type de partie préférée : Sans préférence Age : 35 Date d'inscription : 10/12/2009 Localisation : dans les montagne Nombre de messages : 3084 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Dim 6 Juin 2010 - 15:14 | |
| bon contemt de l,entendre la horde va pouvoir continuer d'avancer donc se sera l'abbé et ensuite le porc dommage que vous n'ayer pas faite frédérick mais peut importe vos map son très bien comme sa bien sur sans parler de tout ces soldat cacher dans la pierre |
| | | Barbarius Seigneur Templier Maître d'arme
Type de partie préférée : partie solo contre IA Age : 34 Date d'inscription : 20/06/2006 Localisation : Le Havre Nombre de messages : 5779 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Ven 18 Juin 2010 - 1:48 | |
| Alors, où en sont ces fameuses maps xD ? |
| | | General RT Seigneur Templier
Type de partie préférée : Sans préférence Age : 35 Date d'inscription : 10/12/2009 Localisation : dans les montagne Nombre de messages : 3084 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Sam 19 Juin 2010 - 0:36 | |
| oui moi aussi j'suis impatien une nouvelle bannière 2 autre belle map et surtout 2 défi on est prêt |
| | | General RT Seigneur Templier
Type de partie préférée : Sans préférence Age : 35 Date d'inscription : 10/12/2009 Localisation : dans les montagne Nombre de messages : 3084 Victoires de Campagnes :
| Sujet: Re: Le retour des Barbares Dim 14 Nov 2010 - 16:01 | |
| toujours pas de nouvelle pour les autre map cher barbouze |
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| Sujet: Re: Le retour des Barbares | |
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| | | | Le retour des Barbares | |
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