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 le scénario des assassins de l'ombre

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Barbarius
Attila
Legolas
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Legolas
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MessageSujet: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 13:33

Le scénario des Assassins de l’Ombre a été écrit par Légolas et Barbarius. Il comprend ici les lignes directrices principales du scénario. Si besoin est, le scénario pourra encore être approfondi, en intégrant par exemple les pensées des personnages. Précisons également que le scénario évoque les autres équipes. Je vous prie de lire attentivement, et de me dire si certains passages ne correspondent pas aux scénarios respectifs de vos équipes !

  • Chapitre 01 – A l’ombre du palmier, le raid sur Frängus


Pendant de nombreuses années, la main du Publicae Principatus s’était abattu sur le continent d’Hyparion. Les Publicains dominaient alors l’essentiel des terres, concentrant entre leurs mains d’immenses armées, et des montagnes colossales de fortune. Toutes ces victoires et toute sa puissance présentaient toutefois une faille : elles étaient essentiellement dues à celui qu’on a surnommé « Le descendant d’Hyparion », le talentueux conquérant Shamila. Selon certains chroniqueurs et historiens, aucun général et aucun militaire foulant le sol du continent, à part Hyparion le Grand lui-même, n’avaient pu égaler la gloire et l’efficacité militaire de Shamila. Invincible, ce dernier ne cessait d’étendre ses terres, et de s’allier aux Rois et aux princes, agrandissant son empire. Son alliance avec Goku fut l’un des évènements les plus terrifiants d’Hyparion, donnant lieu au plus puissant empire existant depuis celui d’Hyparion, celui du Publicae Principatus.

Cependant, Shamila restait un simple homme. Ses territoires s’agrandissant, il dut s’entourer de subalternes, des lieutenants répandant sa volonté dans les principaux domaines lui appartenant. Certains étaient loyaux, mais d’autres étaient des opportunistes cruels. C’était notamment le cas du seigneur Kälkan, un être d’une incroyable cruauté, qui avait même écrit un essai politique sur l’importance de l’utilisation de la terreur pour gouverner le peuple. Kälkan était un homme dévoré par l’ambition et la soif de pouvoir. Plusieurs fois, Shamila faillit autoriser son exécution. Malheureusement pour lui, Kälkan était un homme habile, un stratège efficace, dont ne pouvait se passer le Publicae Principatus. Avec la disparition de Shamila, le Publicae Principatus, qui semblait invincible, périclita rapidement. De nombreux seigneurs choisirent de quitter cette alliance chancelante. Les opportunistes comme Kälkan réalisèrent que le Publicae Principatus n’était plus le meilleur moyen de devenir puissant. Kälkan forma son propre royaume, où tous les pouvoirs étaient concentrés entre sa personne. Une effrayante monarchie absolue se mit en place, un régime répressif brisant la liberté des « citoyens ». Démagogue, Kälkan parvenait à éviter les révoltes en utilisant un système propagandiste excessif. Auprès du peuple, il se faisait passer pour le dernier rempart contre la folie des autres seigneurs, et l’anarchie grandissante. Le vide politique résultant de la disparition de Shamila servait à Kälkan pour effrayer les peuples. Les anciennes terres si paisibles étaient devenues le cœur de conflits sanguinolents entre des tribus de sauvages, les anciennes légions publicaines se déchirant entre elles, au mépris de la population. Pogroms, viols, rapts, massacres sommaires, se multipliaient. Kälkan, par son armée, par ses puissants forts, parvenait à empêcher la barbarie d’entrer dans son royaume, protégeant ainsi son peuple. En échange, ce dernier se devait toutefois de travailler dur, voire même de mourir à la tâche, car Kälkan avait besoin de nombreuses ressources pour entretenir ses troupes. Accessoirement, des orgies somptueuses se déroulaient dans le fort de sa capitale, Celesta, un nom à l’image du mégalomane tyrannique qui le dirige.

Tandis que les années s’écoulaient, la tyrannie se développait. Après avoir instauré un couvre-feu, Kälkan s’enfonça dans une paranoïa croissante. Il était persuadé que la révolte grondait, que ses lieutenants étaient comme lui, des traîtres potentiels n’attendant qu’une occasion pour le tuer. Il y eut de nombreuses exécutions, des « procès » ridicules pour éliminer les soi-disant traîtres. Kälkan édictait des lois de plus en plus sévères envers le peuple. Être surpris à plus de trois dans la rue équivalait à une séance de coups de fouet pour tout le groupe. Une telle situation ne pouvait éternellement durer. Quelqu’un devait se dresser contre un tel tyran.

Dans le petit village reculé de Frängus, un homme rêvait de liberté. Cet homme rêvait de ce jour où il pourrait enfin mettre fin à l’existence de l’odieux tyran, un despote qui jugeait et exécutait n’importe qui pour des raisons ridicules. Cet homme devait à jamais changer le destin de ce continent. Il s‘appelait Légolas, et n’était pour l’heure qu’un simple fermier séparé depuis plusieurs mois de son frère, Léonidas, qui partageait les mêmes idéaux que lui. Léonidas s’était enrôlé dans l’armée de Kälkan, affirmant à Légolas que le seul moyen de mettre fin à ce despote consistait à entrer dans l’armée, à devenir général, et à le tuer. Légolas était alors trop jeune, et craignait trop de s’opposer à la toute-puissance de Kälkan, pour rejoindre son frère. Léonidas partit tout seul, et participa à un combat sanglant entre l’armée de Kälkan et un guerrier avide d’or et de sang, le terrible Attila. Kälkan perdit ce combat, mais parvint à négocier une trêve. Les coffres royaux furent si vides qu’une nouvelle taxe fut levée. Entre-temps, les survivants de la bataille furent accusés d’être des couards, des traîtres responsables de l’échec de l’armée, et furent tous enfermés dans la prison royale, dans un désert inhospitalier. Quand les parents de Légolas apprirent la nouvelle, ils réalisèrent qu’on ne pouvait laisser Kälkan continuer ainsi. Tôt ou tard, la justice devrait être rendue. Kälkan paierait. Pour eux, leur cher fils était mort. Nul ne s’échappait de la prison royale, mais Légolas croyait encore que son frère était toujours en vie. Il voulait lui aussi rejoindre l’armée, et peut-être réussir à convaincre Kälkan du courage et de la loyauté de sa famille. Quand il dévoila son plan à ses parents, son père s’empourpra, et le gifla. Il faillit le battre, mais sa femme sut le calmer. On ne pouvait pactiser avec un dément. Il était temps de se battre.

Dans le petit village de Frängus, la famille de Légolas était connue et respectée. Ils étaient certes des fermiers, mais des fermiers riches. Chaque soir, dans des caves, des réunions s’organisaient pour organiser la révolte. Une fois, Légolas participa à une de ses réunions. Il s’attendait à voir des révolutionnaires rêveurs, des idéalistes prêts à mourir pour la cause, des adolescents furieux rêvant comme lui de liberté. Il déchanta. Tout ce qu’il vit, ce furent des alcooliques, des vieux hommes débonnaires et des jeunes plus occupés à boire et à pelotonner les fesses des femmes qu’à songer à se battre. Finalement, le seigneur local apprit qu’une révolte avait lieu, et parvint aisément à découvrir l’origine. Légolas revenait d’une longue journée de labeur dans les champs quand les soldats entrèrent dans sa maison. Les soldats n’étaient pas du tout disciplinés. A tour de rôle, ils violèrent et battirent la mère de l’homme, forçant son père à regarder l’odieux spectacle. Quand ils eurent fini leur sinistre labeur, ils laissèrent une femme brisée, autant physiquement que mentalement. La maison fut incendiée, et sa mère mourut dans les flammes. Son père, lui, fut emmené et traîné sur la place publique, pour servir d’exemple. Pendant des jours, on entendit ses hurlements de douleur. Les soldats surveillaient nuit et jour la place, tandis qu’un bourreau brisait os par os le corps de son père. Impuissant, Légolas ne pouvait que contempler le spectacle. Ses idéaux de liberté avaient laissé place à une froide vengeance, une haine abyssale qui envahissait son âme, le dévorant.

Son père fut abandonné au bord de la route, à la merci des vautours habitant le désert. Sur son cadavre, Légolas jura de se venger. Il y a un mois, il aurait sans doute versé quelques larmes. Mais il n’avait plus envie de pleurer. Dans les ruines de la maison, il retrouva le sabre de son père. Un trésor de guerre datant de son service militaire. Avec cet arme, il tuerait le seigneur de ce village, puis il tuerait Kälkan avec.

  • Chapitre 02 – L’inextinguible appel de la liberté


Frangüs est libéré. L’assassinat de Légolas aurait pu échouer. La garde de la ville, privée de chef, s’est demandé quoi faire. Toutefois, la population de la ville s’est ralliée à l’épée de Légolas. De nombreux soldats ont suivi. Toutefois, Légolas n’a pas fait preuve de clémence. Les uns après les autres, les soldats accusés d’avoir commis des infamies auprès du peuple ont tous été exécutés. Kâlkan allait très vite réagir, et Légolas n’avait plus vraiment de soldats. Plusieurs villageois lui reprochèrent de s’être sentimentalement emporté. Ses purges dans la garde la ville pourraient à long terme entraîner le massacre de la ville. Légolas leur affirma qu’il ne tolèrerait pas dans son armée de tels criminels. On créait un idéal ou on n’en créait pas.

Légolas pouvait difficilement développer Frängus, qui était un petit village relativement désertique. Ses parents avaient été les principaux fermiers du village, ce qui leur avait permis de s’enrichir. Ils avaient développé une judicieuse stratégie commerciale en achetant les terres des autres fermiers, ou en s’associant. Légolas réalisé qu’il avait besoin d’hommes, et qu’il ne les trouverait pas à Frangüs, mais dans la prison royale de Kälkan, là où résidait son frère Léonidas.

Avec les soldats valides, Légolas se mit en marche. La prison était dans une plaine désertique, un véritable bloc de pierre alimenté par plusieurs villages alentours, et avec une garde permanente. Légolas et ses hommes enquêtèrent dans les villages alentours. Partout, on trouvait le même sentiment d’impuissance et d’amertume qu’à Frangüs. Comme les autres, les villageois de ces endroits éloignés rêvaient eux aussi de mettre fin au joug de Kälkan. Peu à peu, Légolas constitua un discret réseau entre les villages. Il se renseigna sur la prison, sur les soldats, les prisonniers, et obtint même des plans du site. Mais sa vraie réussite fut de parvenir à corrompre un soldat de la prison, obtenant ainsi des informations plus précises sur les prisonniers, et notamment sur un seul...

Quand il apprit que Léonidas était encore en vie, Légolas versa ses premières larmes depuis la mort de ses parents. Il réalisé qu’il était entré dans une spirale infernale, une route de haine qui, à long terme, le mènerait à sa propre perte. Il comprit qu’il avait oublié les conseils de son père, qui, à travers des métaphores commerciales, lui donnait les grandes leçons dans sa vie. Un marchand se devait de savoir dépasser son propre intérêt et d’envisager celui de l’autre. Ce n’est qu’en s’occupant de l’intérêt de l’autre marchand qu’on pouvait réussir à satisfaire le sien. Légolas avait longtemps réfléchi dans son enfance sur le sens profond de cette anecdote. Il avait fini par en déduire qu’un homme n’était un homme comblé que quand il savait dépasser ses propres envies. Ce n’est qu’ainsi qu’on pouvait combattre ses propres démons. Son père lui disait toujours que la cupidité et l’égoïsme étaient le plus grand ennemi du marchand. Enfin, Légolas comprit vraiment cette lointaine leçon. Mais la comprendre ne sut faire taire le feu qui animait son âme. Dans tous les villages visités, il avait été témoin de la cruauté sur Kälkan sur les habitants. Il en avait même fini à en vouloir aux paysans de rester aussi mous. Leur peur les empêchait de se battre, de se conduire comme des hommes. Plusieurs fois, Légolas s’était décidé à les laisser à leur sort. Si personne ne réagissait, c’est peut-être qu’après tout, ils se satisfaisaient de leur situation.

Mais Légolas ne pouvait laisser son frère dans cette infâme prison. Le soldat lui disait que c’était un homme courageux, une forte tête qui avait déjà tenté de mener plusieurs révoltes, et s’était retrouvé dans le trou à de nombreuses reprises. Depuis quelques semaines, il s’était toutefois calmé. Les séances de torture quotidienne avaient fini par le casser. Léonidas était de plus tombé malade. Une récente vague de froid avait provoqué de nombreuses grippes, et, sans guérisseur pour le soigner, il mourrait. Il fallait intervenir d’urgence. Légolas avait besoin des prisonniers. Il s’était persuadé que le peuple avait juste besoin d’un exemple pour retrouver espoir et prendre les armes. Avec ses hommes, Légolas assiégerait la prison. Il pouvait aussi compter sur le soutien de son homme de main, qui libérerait à l’occasion quelques prisonniers. Ils pourraient être utiles pour ouvrir les accès de la prison. Légolas n’avait qu’une petite garnison mal entraînée, sans arme de siège. Contre la puissante garnison protégeant la prison, il n’avait théoriquement aucune chance. Tout reposerait sur ses hommes à l’intérieur de la prison.
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Legolas
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 13:48

  • Chapitre 03 – La revanche du tyran, l’heure des pogroms


L’incroyable s’est produit. Légolas a réussi à assiéger et à prendre la prison, se trouvant avec une armée volontaire. Toutefois, comme il l’a fait à Frangüs, Légolas élimina les prisonniers qui n’étaient que des vauriens, s’intéressant uniquement aux prisonniers politiques partageant ses idéaux. Son armée restait insuffisante pour s’opposer à celle de Kälkan, mais il espérait que les villages se joindraient à son mouvement. Quant à Léonidas, il ne tarda pas à se remettre de sa grippe. Il fut heureux de revoir son cher frère, mais triste aussi d’apprendre la mort de ses parents. Tout comme Légolas, il rêvait de mettre fin au règne de Kälkan.

Les deux hommes concertèrent sur l’action à mener. Assiéger Célesta semblait la seule possibilité envisageable, mais un siège frontal serait voué à l’échec. La situation ne tarda pas à se compliquer. Des messagers vinrent de Frangüs. Kälkan avait eu vent de la rébellion, et avait décidé de la réprimer durement. Ses troupes marchaient sur Frangüs. Léonidas vit sa chance. Si Kälkan déplaçait son armée, la défense de Célesta serait suffisamment faible pour permettre une offensive. Cependant, Légolas ne tenait pas pour autant à sacrifier la population de Frangüs. Il fallait au plus vite protéger les villageois de la fureur de Kälkan. Si la population se faisait massacrer sans réaction des rebelles, le peuple pourrait en déduire qu’ils n’étaient que des terroristes préférant satisfaire leurs propres intérêts que protéger le peuple de la fureur du tyran. Légolas rappela à Léonidas les maximes de leur père, ce qui finit par convaincre ce dernier. Léonidas avait toujours été plus téméraire que son frère ; il choisit quand même de partir vers Célesta, mais en laissant l’essentiel des troupes à Légolas pour aider les villageois. Les deux frères se séparèrent à nouveau, chacun espérant revoir l’autre.

Légolas avança aussi vite que possible, et parvint à Frangüs. Malheureusement, il était arrivé trop tard. Les hommes de Kälkan avaient détruit la ville, qui n’était plus qu’un tas de ruines fumantes. Dans ce paysage funeste, Légolas réalisa cependant qu’il n’y avait pas de corps, ni de traces de charniers. Ses hommes se heurtèrent alors à une patrouille royale. Les soldats ennemis leur apprirent que Kälkan avait envoyé son meilleur homme de main, Signore, surnommé l’« Assassin », organiser le pogrom. Signore avait été parlé avec les villageois peu avant le siège. La ville avait été détruite, mais les villageois avaient disparu. Les hommes finirent par comprendre que Signore n’avait pu autoriser cette tuerie, et avait trahi son serment de loyauté. Il parvint à s’échapper de justesse. Depuis, les hommes de Kälkan sillonnent la région, à la recherche des fugitifs. Pensif, Légolas, qui connaît bien cette région, sait cependant où sont partis les villageois : dans un petit col de montagne isolé. L’homme s’y rend avec ses hommes, mais choisit de se rendre seul dans le petit refuge, afin de ne pas effrayer les villageois. Ceux-ci ont érigé de piètres fortifications, prêts à se battre jusqu’à la mort. Ils sont heureux de revoir Légolas, qui rencontre alors l’homme qui les dirige : Signore ! Ce dernier lui explique qu’il n’a pu autoriser ce massacre d’innocents, et a ordonné aux villageois de s’enfuir. Il a réussi à s’échapper de ses anciens hommes, et a retrouvé les villageois. Il sent que la fin est proche, mais il est décidé à mourir en combattant. Certaines patrouilles ont repéré le village, la mort est proche.

Rapidement, Légolas rejoint ses hommes stationnant près du col. Il faut immédiatement renforcer les défenses du petit village. Malheureusement, le premier bataillon des forces de Kälkan se trouve entre le village et les forces de Légolas. Les hommes de Signore ne pourront éternellement repousser une telle armée ; il faut agir, et venir rapidement les secourir !

  • Chapitre 04 – Célesta, la mort du démon


Tandis que les troupes de Kälkan affrontent les forces de Signore et de Légolas, le commando de Léonidas fait route vers Célesta, la capitale du royaume de Kälkan, où siège ce dernier. La révolte gronde dans de nombreux comtés, et plusieurs villages ont déjà pris les armes, suivant l’exemple courageux de Frangüs. Léonidas a le cœur gonflé d’espoir. Dans cette sinueuse prison, lui-même avait fini par se mettre à désespérer. Dans le puits profond dans lequel on le mettait sept mois sur douze, il ne pouvait qu’admettre que jamais il ne parviendrait à triompher du redoutable Kälkan. En moins d’un mois, Kälkan avait montré qu’il était loin d’être aussi invincible que ce qu’on pensait. Il n’avait suffi que du courage de quelques hommes pour stopper les exactions du monstre. A Célesta, Kälkan devait être partagé entre la terreur et l’assurance qu’il materait cette révolte. Léonidas était sûr de la justesse de leur cause ; Kälka n’avait pas le soutien de son peuple. Il avait considéré qu’on pouvait enterrer l’espoir grâce à la peur, que l’homme n’était qu’un esclave qui n’oserait jamais se révolter. Mais l’homme savait montrer ce qu’il était vraiment. La liberté était plus forte que tout. Il avait suffi d’un simple exemple, un seul petit exemple pour que la liberté émerge dans le cœur des hommes enchaînés. Désormais, Kälkan et son régime despotique approchaient de la fin. Légolas avait lancé quelque chose qu’il n’aurait jamais pu envisager ; il avait fait sortir de sa léthargie toute une nation endoctrinée par la propagande démentielle d’un fou. Léonidas était sûr que leur cause réussirait ; Kälkan serait tué par sa main. Il ne pourrait en être autrement.

Célesta était une ville bien gardée. De nombreuses patrouilles sillonnaient cette ville étroitement surveillée, et le palais du Roi était une véritable forteresse à l’intérieur de la ville, un impénétrable bastion. Célesta n’était pas la ville la plus impressionnante d’Hyparion, loin de là. Elle était toutefois une ville majestueuse, une importante place commerciale dans le royaume de Kälkan, qui comprenait également une importante cathédrale vouée à la religion officielle du royaume, un culte fictif faisant du Roi le fils direct d’un Dieu surpuissant et colérique. Cette cathédrale était le joyau de Kälkan, qu’il considérait comme « l’aboutissement de son triomphe personnel ». Léonidas se fondit dans cette ville trépidante, mais paradoxalement terriblement austère. Les patrouilles étaient omniprésentes, et les archers dominaient toute la ville depuis de hautes tours de guet, ou sur des murs. Il était impossible d’entrer discrètement dans le château, ni d’infiltrer la garde royale. Chaque soldat avait une fiche détaillée, et un département spécial du château s’occupait du recrutement des soldats. Ils étaient des hommes loyaux, même si Kälkan se méfiait d’eux comme de la peste. Sa méfiance allait jusqu’à rendre ses appartements privés sans aucun garde. Le château était puissamment défendu, mais pas la chambre royale. En somme, si Léonidas et ses hommes parvenaient à entrer dans la chambre du Roi, ils pourraient tuer ce dernier.

Mais comment entrer ? Léonidas s’était installé dans une auberge pour y réfléchir. Il finit ainsi par apprendre que les troupes de Kälkan rencontraient des difficultés. Légolas avait réussi à repousser les garnisons royales, et plusieurs comtés tout entier s’étaient soulevés. On racontait qu’une armée populaire marchait même vers Célesta. La ville était en ébullition, ce qui amena Kälkan à durcir les lois. La prison de la ville était remplie, mais tout le monde le sentait, la fin du régime approchait. La tyrannie vacillait, comme un géant de sable affrontant une mer déchaînée, ses pieds s’effritant progressivement sous les coups répétés de la mer. Léonidas serait l’ouragan qui balaierait ce régime de sable et mettrait fin au joug tyrannique de Kälkan. Il vengerait ses parents, il vengerait tout un peuple opprimé depuis des années. Ce qui semblait n’être qu’un rêve d’enfant s’était mué en réalité. Bientôt, Léonidas le tuerait.

Au début, le plan de l’homme consistait à tuer Kälkan quand il assisterait à la commémoration religieuse qui s’organisait à la cathédrale en fin de semaine. Cette importante cérémonie servait en réalité de prétexte pour développer l’important culte de la personnalité s’exerçant autour de Kälkan. Cependant, un groupe d’activistes politiques avait déjà tenté de tuer le despote. Avec joie, Léonidas avait constaté que d’autres cherchaient à mettre fin au tyran, mais il avait aussi amèrement conclu qu’ils étaient peu efficaces, et risquaient surtout de nuire au mouvement. Toutefois, Léonidas avait besoin d’eux, et parvint à réunir les principaux chefs de ces mouvements politiques minuscules, simples groupuscules sans véritable organisation ni stratégie. Léonidas était un militaire de carrière, qui avait fini capitaine avant d’être trahi et emprisonné par le tyran. Il avait un plan. Il disposait de suffisamment d’hommes pour organiser un soulèvement populaire. Au jour convenu, lui et ses hommes traverseraient la ville, et entreraient dans l’enceinte du fort. Ils tueraient Kälkan. Un plan totalement fou. Les soldats ennemis étaient bien plus nombreux qu’eux, mais Léonidas avait foi en ces hommes. Plus que jamais, il était tant d’agir, d’éliminer l’ennemi. Ce jour-là, tous les citoyens devraient rester enfermés chez eux, pour ne pas être tués inutilement. Le sang allait inonder les rues de Célesta. C’était le seul moyen d’éliminer le tyran. Léonidas était conscient qu’ils n’avaient plus le temps, et que ce plan était risqué, mais il fallait agir rapidement. Tôt ou tard, l’armée de Kälkan parviendrait à bout des efforts de Légolas, et Léonidas ne pouvait accepter l’idée de le perdre. Dans un sens, il se sentait responsable vis-à-vis de lui. Depuis ses premières années, Légolas avait été bercé par les paroles de son grand frère, par ses rêves de liberté et d’insouciance. Il avait été son modèle, et se comportait toujours en ce grand frère considérant son cadet comme quelqu’un de plus faible que lui. Léonidas ignorait que le cœur de Légolas s’était lui aussi durci. La haine avait été leur moteur commun. Ils ne se définissaient pas comme des guerriers chevaleresques. Certes, ils luttaient pour un idéal, mais avaient accepté que le seul moyen de parvenir à mettre au point cet idéal était d’agir de manière violente. Le sang des innocents devait couler. De nombreux villageois à Frangüs avaient été tués, des gens qui n’avaient rien à voir avec la révolte, et ne partageaient peut-être pas les mêmes idéaux. C’était un prix à verser. Se remettre en question était exclu. Les deux hommes s’étaient engagés dans un mouvement qui les avait dépassés. La liberté avait germé d’eux, mais les avait depuis longtemps dépassés. Leur rêve était devenu celui de tout un peuple aspirant à un peu plus d’équité et de justice dans leur pays. Si Léonidas, d’autres reprendraient le flambeau, mais d’autres innocents mourront. D’une manière ou d‘une autre, chacun des deux camps aura des reproches à se faire, mais ce qui doit être fait sera fait. Des punitions expéditives seront effectuées, et le sang sera versé.

Abondamment.
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 13:49

  • Chapitre 05 – La naissance d’un royaume


Kälkan est mort. D’un bout à l’autre du pays, on chante la gloire des soldats de Légolas et de Signore, des exemples qui ont entraîné une révolte à grande échelle. On est ébahi devant le courage de Léonidas et de ses hommes, qui ont été dans le ventre du démon, dans la forteresse de Célesta, et ont réussi à tuer l’ennemi. Du haut du balcon du château, Léonidas a brandi la tête livide et décapitée de l’adversaire, et l’a jeté dans le vide. Justice a été rendue !

Légolas s’est lui aussi rendu à Célesta, le cœur débordant de joie. Enfin. Enfin la liberté peut éclore. Les révolutionnaires ont très vite formé un nouveau gouvernement, et casser la plupart des lois, en promettant de revoir l’intégralité des arrestations et des jugements rendus sous Kälkan. On a décrété jour férié cette journée. Très vite, la joie a laissé place à la vengeance. Des exécutions populaires ont été rendues face à des gens suspectés de rester fidèles à Kälkan. Le triumvirat composé de Légolas, Léonidas, et Signore, n’a rien pu faire pour stopper cette hystérie populaire. Les traîtres devaient être punis. Encore une fois, le sang des innocents fut versé. Toute victoire comportait en soi une part de défaite. Les hommes devaient réorganiser le royaume, un royaume qu’ils avaient obtenu, non en combattant, mais à l’aide des assassinats. Leur histoire devint une anecdote qui se répandit dans une bonne partie d’Hyparion. Les troubadours parlèrent des « Assassins de l’Ombre », des guerriers silencieux et mortels, sortes de soldats d’élite, qui envahissaient les ville set les forts, exécutant les chefs rivaux pour le compte de ce triumvirat mystérieux. Cette légende finit par attirer les grands fauves du continent, qui se préparaient tous à une guerre imminente, un conflit légendaire, une fracture mythique qui devrait décider du sort du continent d’Hyparion. Les vestiges redoutables du Publicae Principatus, l’armée terrifiante des Chevaliers du Néant, et la naissance troublante des Phoenix se faisaient tous face-à-face, et chacun cherchait à s’emparer des territoires restées neutres pour son propre compte.

Kälkan finit par révéler son plus grand secret. En consultant les archives royales, les révolutionnaires finirent par comprendre, et réalisèrent avec effroi une terrifiante découverte. Kälkan avait toujours prétendu à son peuple être un souverain indépendant des autres, un Roi puissant qui dominait d’une main de fer son peuple. En réalité, il n’avait jamais été Roi... Ou, tout du moins, il ne l’était plus depuis la guerre qui l’avait opposé à Attila. Kälkan avait prétendu que le tribut versé aux hordes sauvages du guerrier avaient suffi à apaiser sa soif d’or, mais c’était un pieux mensonge. Attila était alors un seigneur nomade, fuyant les hordes démoniaques de Shamila. Il avait besoin de vassaux, d’un empire. Il n’avait pas encore attaqué la forteresse de Barbarius, et se tourna vers les royaumes nordiques... comme celui de Kälkan. Quand Kälkan perdit la guerre, Attila envoya des émissaires à Célesta, et exigea le rattachement de son royaume à son Empire. Autrement, il brûlerait Célesta et tuerait Kälkan. Le monarque n’avait pas le choix, et devint alors Gouverneur, devant verser un très lourd tribut mensuel à Attila. Les faibles ressources de ce royaume forcèrent Kälkan à alourdir les impôts et les taxes sur les produits, et à exiger un travail plus important de la part des travailleurs. Il ne pouvait toutefois admettre à son peuple qu’il n’était qu’un simple Gouverneur, un sous-fifre... Il avait continué à prétendre qu’il était toujours un monarque. Les orgies qu’il organisait avaient lieu à chaque fin de mois, quand les percepteurs d’Attila venaient récolter l’Impôt. La formation des Chevaliers du Néant n’arrangea pas les choses ; l’Impôt fut durci. Kälkan ne pouvait pas améliorer son armée, et dut relâcher la formation des soldats, ayant ainsi des soldats de plus en plus violents, immoraux, et totalement indisciplinés. Kälkan savait que sa fin arrivait, mais la seule solution qu’il trouva pour empêcher le pays de sombrer fut de s’imposer comme un monarque génial, le fils de Dieu. Il espérait qu’en évangélisant la population, ceux-ci ne se révolteraient pas. Il avait peur des Chevaliers du Néant, et savait pertinemment que, si jamais une révolte éclatait, il ne pourrait plus payer l’Impôt, et les hordes infernales d’Attila ne seraient guère clémentes. Kälkan s’était renseigné ; il existait des villes qui avaient refusé de payer l’Impôt. Elles avaient été sauvagement pillées, et les chefs locaux avaient tous été tués et remplacés par des administrateurs. L’état des finances royales était maintenant déplorable. Les Chevaliers du Néant se préparaient à entrer en guerre ; si on ne les payait pas, une guerre ouverte allait se dessiner contre eux, et les Assassins de l’Ombre savaient parfaitement qu’ils n’avaient aucune chance.

Le percepteur vint un beau jour. Signore essaya vainement de négocier, d’obtenir un délai supplémentaire... La guerre menaçait. Les armées publicaines se dressaient sur un front, et plusieurs forts du Néant avaient déjà été attaqués par les Phoenix. La Horde de Barbarius, la légendaire armée du Barbare, viendrait tôt ou tard les raser. En réalité, la Horde était déjà occupée dans d’autres lieux, mais une importante armée devait venir pour surveiller les régions nordiques. Les rumeurs affirmaient en effet que le Publicae Principatus comptait attaquer par ces régions. C’était une manière de faire d’une pierre deux coups.

Cependant, les Assassins de l’Ombre ne comptaient pas se laisser faire comme ça. Il était hors-de-question qu’on leur dicte quoi faire. Ils avaient combattu pour la liberté, et ne se laisseraient pas faire aussi facilement. Ils n’étaient pas Kälkan. Il était temps que ce petit royaume, qui avait été massacré par Attila, devienne une puissance majeure. Les royaumes nordiques devaient s’allier autour du triumvirat de Célesta, et former une entité politique et militaire à même de rivaliser contre les grandes puissances du continent. Le problème majeur était toutefois que les royaumes nordiques n’avaient virtuellement aucune armée sérieuse. Ils ne résisteraient pas longtemps face aux forces des Chevaliers du Néant et du Publicae Principatus. Leurs armées étaient en marche, et Légolas envisagea alors une stratégie risquée, mais qui, si elle marchait, les rendrait suffisamment forts pour lutter.

Les deux armées se faisaient mutuellement face dans une plaine sauvage et ravagée par la guerre. Elles s’étaient enfermées dans de puissants campements militaires, attendant le signal pour passer à l’offensive. Les royaumes nordiques seraient leur terrain de jeu, et il fallait empêcher cela. Le plan de Légolas consistait à envoyer un commando pour tuer les généraux des deux armées, et prendre leur commandement. L’honneur militaire des deux camps supposait que les soldats restaient fidèles à celui qui les commandait. Si les Assassins de l’Ombre étaient fidèles à leur réputations, ils obtiendraient deux puissantes armées, et le soutien des autres royaumes nordiques pour entrer dans une confédération, une union totale entre les différents Etats. Cependant, les deux généraux ennemis étaient lourdement protégés. C’est lez sort de tout un monde qui allait se jouer. Si les Assassins de l’Ombre réussissaient, ils pourraient enfin exister en tant que nations indépendantes et souveraines, et offrir à leur peuple ce qu’ils avaient toujours désiré : la liberté. Dans le cas contraire, le chaos et la mort déferleraient sur le royaume, et ce serait la fin de tout.
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Legolas
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 13:56

je laisse à taurus ou darkommen a transféré ça sur le forum général !!
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 14:54

Et ben bravo,c'est long à lire mais ça vaut le coup!
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 15:01

Et moi qui comptais faire une version longue lol
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 16:08

Legolas a écrit:
je laisse à taurus ou darkommen a transféré ça sur le forum général !!

Ca serait plus propre que les membres le fassent eux même... C'est quand meme nettement plus lisible quand quelqun post sous son propre pseudo plutôt que par message interposé.
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 16:14

pas mal l'histoire. cen plus je suis dedans. je suis honoré :#16:
si vous avez besoin de quelques chose je suis là.
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 20:58

C'est bon je m'en suis occupé Legolas joyeux

Après ce serait bien que plus personne ne poste ici et que tout se suive sur le topic général.

http://frenchcrusade.forumactif.com/la-lame-de-l-ombre-f31/scenario-des-assassins-de-l-ombre-t12.htm


Merci!
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 21:50

A terme c'est effectivement l'objectif
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 22:55

Hum, un nouveau forum, compliquer tous ça....

Pour le moment j'ai pas tous lu, sauf que le Publciae est grandement discuté au début, mieux aurait valu que vous attendiez la publication de notre scénario avant celle du votre... Je vais lire en profondeur pour voir jusqu'à où sa discorde ou concorde.

Je comprend pas vraiment la volonté de faire un troisième forum.
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MessageSujet: Re: le scénario des assassins de l'ombre   le scénario des assassins de l'ombre EmptyVen 3 Juil 2009 - 23:24

On a pourtant expliqué et les membres sont d'accord. A savoir que ça commence a devenir le foutoir et qu'il y a deux forums. Le but est d'organiser strictement un forum qui remplacera ces deux forums pour qu'a l'avenir on s'y perde pas dans le foutoir que sont entrain de devenir ces sous forums...

Si t'es pas convaincu... y a a peine 30 sujets... Imagines qu'il y ait 150 sujets par forum... Comment tu t'imagines t'y retrouver?

Bref ce forum a terme aura pour but de remplacer les sous forums de SFH et des templiers dans un soucis d'organisation, de lisibilité...

Quasiment tous les sujets ont déjà été transférés sur ce forum... il ne reste plus qu'a s'inscrire et a poster.

https://templiers.forumactif.com/the-french-crusade-f41/cration-d-un-nouveau-forum-destin-au-mod-t2353.htm
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