La chasse de Barbarius et Légolas

Une nouvelle quête a commencé. Déterminés et braves, les chevaliers Barbarius et Légolas ont décidé de se lancer à la poursuite du Roi d'Angleterre à travers le Désert. Nos premiers adversaires n'ont pas fait long feu contre notre belle armée, même si le jeune Légolas aura quelques difficultés face à plusieurs catapultes de la part d'un Porc. De mon côté, j'aurais combattu un dernier Porc disposant de je ne sais combien d'arbalétriers sur son Donjon, un véritable barrage qui m'aura coûté bon nombre de massiers, tandis que Légolas attaquait depuis le sud la puissante forteresse du Loup, la réduisant à néant.

*...40 essais après...*

Entre les bogues à répétition de Légolas, nous avons finalement pu conclure cette mission avec panache. Des débuts un peu délicats, d'une part parce que le Serpent m'aura énervé avec ses catapultes, le Porc s'amusant à cacher des massiers dans ma ville, d'autre part parce que ce cher Légolas a eu la sage idée de prendre les 2/3 des stocks de fer présents Je me suis donc vengé sur ces pauvres IAs que j'ai décimé avec une frénésie incroyable, tandis que Légolas faisait mumuse avec un Loup attaché à la vie

Longue partie ici, où je crois honnêtement que nous avons réussi à pulvériser tous les records. D'un côté, Légolas s'est fait incendier, son château se transformant ne gruyère avec des trous partout, des centaines d'esclaves s'infiltrant pour créer un formidable incendie. De l'autre, mes balistes incendiaires ne cesseront de se faire balayer sous les fosses empoissées, archers arabes, archers montés, esclaves, balistes incendiaires, et même catapultes du trio de Califes déchaînés, soutenus par les assauts frénétiques d'un quatrième Calife, quand il n'attaquait pas Légolas. La bataille sera donc assez intense, et nous nous tournerons finalement vers les catapultes contre les trois derniers Califes, mon armée rejoignant Légolas contre les deux derniers. Le mélange de flèches incendiaires et de boulets meurtriers balaieront définitivement les Califes restants, nous offrant finalement la victoire

C'est vrai qu'on est régulier sur les Seigneurs tués On va essayer d'aller un peu plus vite sur la prochaine quand même

Notre marche continue, et nous sommes toujours aussi lents Légolas a réussi à se surpasser aujourd'hui, puisqu'il s'est fait mitrailler avec des catapultes, des balistes incendiaires, des archers montés, incendié à de multiples reprises, et éventré par des spadassins arabes. Son Seigneur a choisi plus prudent de se réfugier chez moi, tandis que j'organisai ma défense pour, non seulement me protéger, mais aussi permettre à la ville de Légolas de se refleurir. Concrètement, cela se traduira par l'envoi de précieuses ressources pour renflouer son grenier, rebâtir ses défenses, et sa ville, tandis que je me lançai ensuite dans une guerre contre les Califes. Au plus fort de notre développement, nous avions une assez belle double-ville, bordélique à souhait, avec des tours un peu partout : http://img22.xooimage.com/files/9/8/3/screenshot001-936994.jpg

Notre assaut se constituera ainsi d'une puissante armée de balistes incendiaires soutenue par les catapultes de Légolas, nos fantassins chargeant alors avec rage. Ca n'était pas aussi violent que dans la mission précédente, avec des dizaines et des dizaines de boulets pleuvant dans tous les sens, mais ça valait tout de même son pesant d'or.

Merci, et nous finissons comme toujours tout en bas du classement !

Après un petit temps d'arrêt, notre aventure a repris. Un peu plus rapide que dans nos précédentes tentatives, nous avons réussi à vaincre nos adversaires sans faiblir, attaquant dès le début. Une partie relativement longue, en somme, les deux derniers Loups disposant de 500 troupes chacun, donnant lieu à de très longs sièges le temps que tous succombent !

Mince, Légolas aura encore plus de brèches Sinon, on a encore réussi à finir dans les bons derniers

Entre les examens, Légolas et moi avons repris notre quête contre Richard, devant cette fois secourir un allié, le Duc de Beauregard. En difficulté, ce dernier se retrouvait isolé de nous. Tandis que Légolas s'occupera de Saladin, voisin énervant avec ses mangonneaux, j'assurerai la défense, me tournant rapidement vers les balistes incendiaires. Objectif : sauver le plus vite possible le Serpent, qui sera méchamment mitraillé par les adversaires, qui se défouleront sur lui. Si la défense fut très facile, attaquer fut bien plus difficile. J'enverrai sans cesse des renforts pour tenir la ligne principale, me heurtant à la double défense du Calife et de Saladin, soutenu par un Légolas riche, mais un peu endormi quant à l'envoi de balistes incendiaires sur le terrain. Après de multiples pertes, le Calife sera finalement tué par Légolas. Le bloc défensif adverse brisé, il faudra continuer l'offensive, en devant en plus se heurter aux assauts furieux des deux Saladins de droite. Légolas essaiera à chaque fois, avant d'envoyer des renforts, de réunir un nombre important d'ingénieurs, alors que je faisais le plus vite possible des balistes incendiaires pour charger, me ruinant donc. Finalement, les assassins de Légolas seront brûlés vifs devant un Saladin réticent à mourir. Mes assassins termineront le travail, avant d'achever un Calife pris entre nos balistes incendiaires et les forces d'un Serpent ne voulant pas non plus mourir, et faisant des contre-attaques furieuses avec quelques dizaines d'esclaves et archers européens.

Le second Calife tombera ainsi, un trébuchet àç moi ayant rasé toutes ses tours, et toute sa ville ayant été incendiée je ne sais combien de fois par mes balistes ou les esclaves du Serpent. Il faudra ensuite attaquer un Saladin fou furieux, envoyant sans cesse des troupes, et qui tuera d'ailleurs bon nombre de nos ingénieurs par une charge violente et imprévue. Il ne restera plus que mes balistes incendiaires pour l'attaquer, Légolas ayant perdu ses soixante ingénieurs par les archers arabes de l'adversaire. Le combat sera colossal, puisque mes balistes se heurteront aussi aux tours du dernier Saladin. Les incendies laisseront place aux virulentes catapultes de Légolas, qui fera une brèche énorme sur le flanc du second Saladin, n'ayant pas le temps de les déployer contre le premier des lascars, tué par mes assassins. Sans plus attendre, j'enverrai mes cent assassins charger le dernier Saladin, au beau milieu d'un terrifiant incendie. Mes troupes tomberont comme des mouches, mais le dernier ennemi succombera également, nous offrant la victoire !

En somme, j'ai trouvé cette mission moins dure que celle où ilf aut sauver l'Abbé dans Saladin. Le Serpent s'est bien mieux débrouillé que l'Abbé, d'autant plus que nous avons pris du temps pour venir à son secours, le front ennemi ayant été très difficile à percer. La difficulté reste toutefois de mise, mais je trouve que, par rapport à la version originelle que j'avais faite avec Shamila, où le Serpent était un ennemi, le voir en allié n'a pas changé grand chose. Dans un sens, c'était plus facile pour nous, car les assauts ennemis se concentraient sur lui, et il n'avait pas envie de mourir.

Bizarrement, le Serpent fut très facile à protéger. Il s'est débrouillé tout seul sans problème, et nous a même aidé à la fin. Ce fut une triple armée qui assiégea le dernier Saladin. Comme je l'ai dit, défendre l'Abbé dans Saladin était bien plus difficile.