Rp en pratique, Taverne nous voici!

[hrp]Il est temps d'instruire cette bande de barbare sans coeur au joie de la littérature. On va y aller en douceur, une bonne taverne rp sera amplement suffisant pour commencer (j'espère qu'il y a quelques bon du rp parmi vous).[/hrp]

[hrp]Mes règles, comme je vais garder la main la-dessus; texte normal en italique svp, couleur (pas obligatoire) pour les conversation.Pensé entre**. On reste cordial. On détruit pas la taverne et on tue pas l'aubergiste (moi). Nous vendons de tous, nous offrons des duels, des discussions enflammée et de bonne bagarre. Ha oui, on tue personne et on ne fait parler que soit même ou ses laquais (escorte mais pas les personnage humain)[/hrp]

Oasis, perdu au milieu des sables

En 1100 jusqu'à 1200, de nombreux pèlerin traversaient chaque mois le désert en quête de la cité de Jérusalem. L'ordre sacré des templiers avait établi plusieurs postes de gardes et envoyé de nombreux preux chevalier défendre la ville et les alentours ainsi que les nombreuses autre cité importante.

Plusieurs caravane se perdait dans le désert et mourait de faim ou de soif. Les oasis était rare. Mais l'une d'elle, perdu au milieu de vraiment nulle part contenait un camps d'entrainement pour les recrue templiers, ainsi qu'un château fort, le principal en Terre-Sainte si l'on excluait celui de Jérusalem.

Plusieurs de leur plus nobles représentant y était. Et nombreux étaient les fidèles à y passer par moi. Souvent assoiffé les templiers leur offraient l'hospitalité. Mais les duels à l'épée était difficilement praticable vu la petite enceinte extérieur. Tout ce beau monde manquait cruellement de vivre des différents royaumes Chrétien et Sarazin, il ne manquait pas de nourriture mais du pain chaque jour avec un peu d'eau et rarement du vin, je vous l'accorde c'était une misère.

Un jour une de leur recrue, un seigneur ayant réussie à établir un empire concret ayant de nombreuse terres dont certaine lorgnaient la mer, avait décider de changer tout ça. Il chargea son fidèle scribe de toujours, Léonar, de construire un établissement, une auberge, pour dé servir de nombreuse boissons au templiers ainsi que de nombreux repas. Sans compter que les voyageurs pourrait y dormir tout allant admirer la forteresse. Un joyau des templiers dans ce cruel dessert.

Cet établissement fût construit en bois avec un toit de bois aussi bien que recouvert tant de l'extérieur que de l'intérieur de paille. Les murs intérieurs était bien décorer. Un antre diffusait de la chaleur en tout temps, plusieurs tables avait été installé, un comptoir avec quelques plateau dessus avait été installé dans un coin, derrière lequel on pouvait voir l'extension du bâtiment avec de nombreux fourneau et une cave pouvait même être entre perçu.

Un escalier menait à l'étage supérieur possédant quelques chambres dont celle de l'aubergiste, un gentilhomme assez robuste et grand ayant toujours une épée à la taille et possédant une piètre côte de mail qui lui fournissait une allure de soldat-mendiant.

Quelques page avaient été engagés pour cuisiner ou s'occuper des chambre, ou encore de l'écurie extérieur.

Cette belle écurie pouvait contenir une bonne vingtaine de chevaux et dehors des mangeoires ainsi que des d'abreuvoir étaient disposé un peu partout dans la pseudo cours de l'établissement.

En arriéré sur les terrain cultivable un bon potager pouvait être cultivé.


L'établissement était fin prêt à recevoir des clients. L'aubergiste, Jean, attendais patiemment en buvant du vin au olive "corsique".


[hrp]Aller j'espère que ça va prendre, les commentaire non rp (role-play) sont entre les balise "[hrp][/hrp]"[/hrp]

https://templiers.forumactif.com/l-auberge-f13/annexe-le-rp-t1115.htm

C'est la nuit que les quatre cavaliers arrivèrent. Surgissant de nulle part, drapé dans leurs armures ténébreuses, la lueur de la lune leur donnait une allure spectrale. Leurs capes flottant derrière eux, ils erraient depuis des jours dans le désert, avec un but précis, une mission à accomplir.

Jean s'apprêtait à passer une nouvelle soirée dans son auberge silencieuse, sa jovialité de départ plongeant dans une forme de mélancolie, aggravée par toutes les bouteilles qu'il s'enfilait le chaque soir, finissant en général effondré par terre, à cuver son vin. Non pas qu'il fut mauvais homme, disons plutôt qu'il en avait assez de ne voir aucun visiteur venir dans son auberge. Les chevaliers du château-fort n'avaient pas le droit de boire, ce qui ne leur empêchait cependant pas de temps en temps de faire quelques entorses discrètes au règlement.

Mais très peu de visiteurs. D'après ce que Jean savait, c'était une forte période de trouble. Le Royaume de Jérusalem était en danger, on parlait d'une immense armée conduite par les Sarrasins pour repousser les barbares venus du Nord dans leur continent décadent et dévasté par la peste et des guerres de conquête incessantes et ridicules. Jean se contentait d'écouter les conversations animés entre les Templiers quand il allait au château prendre des provisions. Certes, il y envoyait la plupart du temps ses pages, mais Jean préférait l'ambiance du château à celle de son auberge. Car, au moins, il y avait une ambiance....

Ce fut donc dans un début de soirée ressemblant comme les autres que les quatre cavaliers arrivèrent. Ils portaient des blasons inconnus, étaient inconnus des Templiers, mais semblaient en savoir long sur ce qui se passait dans le Désert.

Ce fut l'un des pages qui avertit Jean, entrant rapidement dans l'auberge :

PAGE - Sieur Jean, sieur Jean !
JEAN - Allons bon, ne vois-tu donc pas que je suis occupé ?
PAGE - Mais c'est que j'ai vu, de mes yeux, alors que je commençais à m'assoupir, quatre lignes de sable au loin, qui s'élançaient ! Quatre chevaux, Monsieur Jean ! Quatre chevaux qui viennent vers nous !
JEAN - Mais les chevaliers du château ne passent jamais par cette route.
PAGE - C'est que ce sont des visiteurs !
JEAN - Des visiteurs ? Mais... Par tous les anges de l'Apocalypse, j'espère que tu n'es pas en train de te moquer, car cela pourrait t'en coûter très cher. Préparons le comité ; avec un peu de chance, il s'agit d'une délégation importante. Il faut faire fort, mes amis ! Je veux que tout soit absolument parfait ce soir ! Je m'assurerai personnellement de fouetter celui qui fera échouer cette soirée. Les voyageurs sont tellement rares !

On organisa rapidement les préparatifs. On savait que Jean n'était pas homme brutal, mais personne ne voulait le décevoir. Les serviteurs aussi en avaient assez de ne pas voir d'étrangers arriver. Qui plus est, la plupart des Templiers qui venaient ici étaient ne général des têtes brûlées, de jeunes recrues arrogantes venues récemment d'Europe. Elles méprisaient les pages, n'hésitaient pas à les battre. Avant, Jean pouvait se permettre d'avoir des serviteurs arabes pour l'aider. Depuis, chaque fois qu'un Arabe passait ici, il n'était pas rare qu'un de ces Templiers sorte son épée et le tue sur place. Une telle attitude ne pouvait pas améliorer les choses dans un contexte politique très instable. L'un de ces pires Templiers était l'irritable Hamleigh, William. Fils d'un riche seigneur anglais, il se permettait volontiers de prendre l'aubergiste de haut, de renverser les tables, et d'user de sa savate, protégé par Ronald, un mastodonte qui le protégeait perpétuellement.

Toujours est-il qu'Hamleigh ne devait pas arriver ce soir. Les quatre voyageurs entrèrent assez rapidement, essayant de retirer le sable qu'ils avaient dans les bottes et sur leurs capes à l'entrée. Ils ne dirent pas un mot quand ils virent l'auberge déserte. Jean faisait mine de ne pas s'intéresser à eux, mais les serviteurs savaient qu'il était très excité. Il espérait que les visteurs avaient vu le terrain de joute qu'il était en train de construire avec l'aide d emaçons et Templiers du château-fort.

Le premier de ces quatre chevaliers était un homme assez grand, en armure, arborant un blason que Jean n'avait jamais vu auparavant : une croix doré sur un lys ensanglanté. Très étrange. Le deuxième homme avait, lui, une croix chrétienne pendouillant sur son ventre. Les deux autres ressemblaient plus à des chevaliers normaux. Ils s'assirent sur une table, et ne dirent pas un mot. Jean décida de s'approcher d'eux.

JEAN - Messeigneurs, permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue dans mon humble demeure.
CHEVALIER#1 - Vos chambres sont-elles aussi remplies que votre auberge ?
JEAN - Euh, je... Et bien, comprenez, il n'y a pas grand monde en ce moment, le commerce est au plus bas, alors...
CHEVALIER#1 - Vous avez donc quatre chambres de libre pour nous quatre ?
JEAN - Bien sûr, je puis vous assurer qu'elles sont propres, et très accueillantes.
CHEVALIER#1 - Je n'en doute pas, et cela vaut mieux. Je n'ai jamais aimé le bois ; cela me donne envie de vomir.
JEAN - Hum... Et que prendrez-vous ?
CHEVALIER#2 - Voyez-vous, nous galopons depuis ce matin. Nous aurions bien voulu nous arrêter dans un petit village pas très loin d'ici, mais quand nous sommes arrivés, il avait été rasé. Nous n'avons trouvé aucun survivant, mais pire encore, rien pour nous nourrir. Dépités, nous nous sommes décidés à poursuivre notre route, résolus à ne pas dormir à la belle étoile. La zone n'est pas sûre. Les pillards sont nombreux, surtout quand l'ordre actuel est autant instable. Ce sont des charognards, des vers qui attaquent les plus faibles quand les plus forts sont occupés ailleurs.
JEAN - Un village a été rasé, vous dites ?
CHEVALIER#1 - Il n'est pas nécessaire d'aborder le sujet ; toutes ces visions dans ma tête, ça m'a rendu assez... Enfin, je préfère ne pas en reparler. Si nous sommes ici, c'est en partie parce que nous devons voir le seigneur qui régit ce château, et ce faisant, cette auberge. Ce lieu est le dernier endroit de notre visite. Je suis le Chevalier Marc, et celui qui vous a parlé de notre voyage se nomme Kletus. Il y aussi le moine Simon, et le dernier est Arthur. Nous venons du Vieux Continent, voyez-vous, rien que pour voir votre seigneur.
JEAN - Mais... Sans vouloir être indiscret...
MOINE SIMON - Vous l'êtes déjà, mon cher Jean. Veuillez juste nous donner de la bonne viande à manger, et aussi ce petit vin dont vous avez le secret, très cher aubergiste.

Jean avait pourtant souvenir de ne pas leur avoir dit son nom. Interloqué, il se retourna. Un des serviteurs leur avait peut-être dit son nom, après tout... Un écuyer, sans doute. N'empêche, ils venaient d'Europe ? Ces gens ? Mais qui étaient-ils donc ? Qui les envoyaient ? Jean savait cependant qu'il n'était pas prudent de leur poser ces questions, surtout quand il avait enfin des visiteurs.

Et il y en aurait bien d'autre ce soir...

[HORSRP]Bon, ce fut un post que j'estime un peu trop redondant, et caricatural. J'espère que les noms ne se bousculeront pas trop ; ceux qui me suivent peuvent les réutiliser s'ils le souhaitent.[/HORSRP]

[hrp]Au moins ça va prendre, attention, le château n'est pas une source d'approvisionnement (relis mon texte de départ ). Tu me complique légèrement la tâche sur l'interdiction de boire, mais on fera avec (lol)[/hrp]

Jean était ravis de voir enfin quelques visiteurs autre de ce fichue templier, Hamleight, bref, il se devait de vite servir ses clients. Il repassa les priorités, les chambres pourraient attendre quelques minutes.

Il ordonna que l'on apprête de la viande de faisan et un cartier de veau avec des légumes ainsi que légère sauce au épice oriental.
La cuissons fût rapide, une miche de pain fût offerte pour faire patienter les nobles seigneurs, qui fût accueillis avec joie.

Les visiteurs chuchotai entre eux, quelques bribes de leur conversations pus être recueillis. C'était plutôt vague, un petit "l'aubergiste à l'air..." et un morceau de "les sarrasins avance...".

Le repas fût servis après un vingt minutes de patience. Les seigneurs s'en régalèrent, ce qui semblait normal après un jeûne forcé de quelques jours.

Le vin se mariait parfaitement avec les viandes, un désert fût préparer, bien que pas réellement demandé, Jean était sûre que cela leur ferai plaisir. Une sorte de miche sucré au miel avec une crème orangé, très habilement apprêté par un des pages de Jean.

Il pus ainsi capter un peu plus de leur conversations qui tournait essentiellement au tours des invasions barbares du nord de la Terre-Sainte.

Après ne bonne heures de ripailles heureuse la porte claqua froidement, le pire arriva, un individu rentra, assomma pratiquement un page sur son chemin. Quand il arriva a la lumière l'on pus distinguer le damné Hamleight.

Main tant la main sur son pommeau d'épée Jean était prêt à une escarmouche, sans son mastodonte de gardien, William ne valait pas grand chose.